L’affaire était remontée jusqu’au Tribunal fédéral, la plus haute instance judiciaire suisse, qui avait ordonné qu’une étude comportementale du canidé soit effectuée avant de procéder éventuellement à son exécution.
Sans attendre le résultat de l’étude, le maître de Maximus, un certain Pascal qui admet avoir “un lourd passé judiciaire” est allé récupérer son compagnon dans la nuit de dimanche à lundi à la fourrière de Genève, dont les portes étaient restées providentiellement ouvertes.
Recherchés par la police, Pascal et Maximus posent fièrement dans les pages du Matin. Le maître, qui dément les accusations portées contre le quadrupède, explique qu’il a décidé de cacher l’animal avant de le faire passer clandestinement en Italie, pays d’où il est originaire. (AFP)