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Desperate Housewives S05 - 1/4

Publié le 20 novembre 2008 par Iti1801

Dieu sait – et mes rares lectrices et lecteurs – si j'apprécie de regarder une série d'un seul tenant (de nos jours, lit-on encore des romans en feuilleton ?). Une fois n'est pas coutume cependant, j'ai dérogé. Que voulez-vous ? Parfois une envie soudaine me prend de faire plaisir à ma douce et tendre, qui s'ennuie devant le peu de choix proposé à la tévé et qui surtout n'a pas emprunté de nouveaux romans.

Ce week-end donc, j'ai commencé à visionner la cinquième saison des palpitantes aventures de nos femmes au foyer américaines préférées (i.e Desperate Housewives S05, comme on dit dans le jargon). On se souviendra que je ne suis pas particulièrement friand de cette série – c'est le moins qu'on puisse dire - même si la première saison m'avait assez séduit.

Celle-ci, si elle ne démarre pas sur les chapeaux de roue, trouve néanmoins l'occasion de se renouveller. La trame : nouvelle voisine qui emménage devenant, pour le moins, répétitive, cette fois, c'est UN voisin qui débarque, marié à une des protagonistes (Edie, en l'occurrence) ; et surtout l'action se déroule CINQ ans après la fin de S04.

Du coup, quelques changements notables sont apparus par la force des choses – ou plutôt du temps. Les turbulents enfants de Lynette sont des adolescents tout aussi turbulents (l'un d'eux – Porter, pour ne pas le nommer) sort avec la mère d'un de ses amis qui lui annonce qu'elle est enceinte (et avec qui il envisage de fuir) après avoir eu préalablement une cyber relation avec sa mère, basée sur la poésie certes, mais dont il ignorait tout, contrairement à sa génitrice, qui n'est pas son père !!! - pardon, raconté de la sorte, on se serait cru dans Les Feux de l'amour (a.k.a Days of our lives, ou Les Jours de notre vie comme traduit dans Friends), mais tout ça ne s'étale que sur le premier quart de la saison, d'où le 1/4 du titre – oui, jeune fou présomptieux que je suis, j'envisage un suivi régulier... Et les Scavo tiennent toujours leur pizzeria, soit dit en passant...
To be continued, comme le disent si bien nos amis anglo-saxons.


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