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Qui était Marie Laurencin ?

Publié le 02 janvier 2009 par Labonnequestion

Marie Laurencin, née à Paris le 31 octobre 1883 et morte à Paris le 8 juin 1956 est une peintre et graveuse française.

Elle a une liaison avec Guillaume Apollinaire qu’elle a connu par Picasso.
Elle épouse le baron Otto von Wätjen en 1914 avant de s’exiler en Espagne (pour revenir en France en 1920).

A son retour à Paris, elle devient portraitiste officielle du milieu mondain féminin.

Les gens retiennent son nom surtout grâce à la chanson de Joe Dassin : l’été Indien (période de temps ensoleillé et radouci vers Octobre).

Dans cette chanson, Joe Dassin dit : “tu ressemblais à une aquarelle de Marie Laurencin”. Vu la chanson, on imagine aisément qu’il s’agit d’un compliment. Cependant, afin que chacun se fasse son idée et pour que des images vous viennent la prochaine fois que vous entendrez cette chanson, j’ai choisi de vous montrer quelques une de ces aquarelles de Marie Laurencin.

A vous de juger du compliment !

Paroles de la chanson de Joe Dassin :

Tu sais, je n’ai jamais été aussi heureux que ce matin-là
nous marchions sur une plage un peu comme celle-ci
c’était l’automne, un automne où il faisait beau
une saison qui n’existe que dans le Nord de l’Amérique
Là-bas on l’appelle l’été indien
mais c’était tout simplement le nôtre
avec ta robe longue tu ressemblais
à une aquarelle de Marie Laurencin
et je me souviens, je me souviens très bien
de ce que je t’ai dit ce matin-là
il y a un an, y a un siècle, y a une éternité

on ira où tu voudras, quand tu voudras
et on s’aimera encore, lorsque l’amour sera mort
toute la vie sera pareille à ce matin
aux couleurs de l’été indien

aujourd’hui je suis très loin de ce matin d’automne
mais c’est comme si j’y étais
je pense à toi
où est tu?
que fais-tu?
est-ce que j’existe encore pour toi?
je regarde cette vague qui n’atteindra jamais la dune
tu vois, comme elle je me couche sur le sable
et je me souviens
je me souviens des marées hautes
du soleil et du bonheur qui passaient sur la mer
il y a une éternité, un siècle, il y a un an

on ira où tu voudras, quand tu voudras
et on s’aimera encore, lorsque l’amour sera mort
toute la vie sera pareille à ce matin
aux couleurs de l’été indien.


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