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Patrick Bruel : débouté dans l'affaire des photos volées

Publié le 16 janvier 2009 par Benjamin Tolman
Patrick Bruel Agrandir l'image

Patrick Bruel et son ex femme Amanda Sthers ne s'attendaient certainement pas à ça. Pourtant, la justice a tranché, les quatre voleurs des photos et du film de leur mariage ont  été relaxés, ils ont donc été déboutés de leur demande de dédommagement.

Le 21 septembre 2004, Patrick Bruel et Amanda Sthers se sont dit "oui", sans penser un instant que des proches conviés à la noce en profiteraient pour se faire de l'argent de poche. Un jeune homme a en effet vendu à Voici un film de la cérémonie religieuse réalisé par sa petite-amie, et ce pour 8000€.

Un peu plus tard, deux étudiants qui passaient par là, ont copié des photos prises par des invités, profitant d'un moment d'inattention des vigiles.

Mauvaise surprise pour les deux jeunes mariés lorsqu'ils découvraient quelques jours plus tard toutes les photos de leur mariage en une de Voici qui leur avait alors offert 15 000€.

Si le magazine avait à l'époque été condamné à verser 40 000 € de dommages et intérêts au couple, Amanda Sthers et Patrick Bruel fraîchement divorcés avait décidé de porter plainte contre les quatre voleurs d'intimité.

Le jugement a donc été rendu jeudi par le tribunal correctionnel de Paris. Le jeune couple et les deux étudiants sont relaxés et les deux ex-époux déboutés de leur plainte. En effet, si le mariage relève de la vie privée, encore faut-il prouver que le lieu où il a été célébré l'est aussi. Or la synagogue dans laquelle Patrick Bruel et Amanda Sthers se sont unis est considéré comme "Un lieu par nature ouvert au public."

Conclusion du tribunal : "Si les prévenus n'ont pas respecté la volonté des époux et du rabbin, et que cet acte peut être moralement condamnable, il ne constitue pas une infraction pénale."


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