Enfin le bonheur !

Julia Roberts nous revient avec au grand écran dans Duplicity, un film sur les services secrets américains où elle incarne justement un agent de la CIA. Un rôle taillé sur mesure pour la femme de 41 ans qui laisse derrière elle, les petites comédies romantiques à la Notting Hill, My Best’s Friend Wedding ou Pretty Woman. Cette époque de sa vie et de sa carrière est bel et bien révolue et pour rien au monde, elle retournerait en arrière.

Enfin heureuse en amour et mère de trois enfants, Julia admet que c’est Pretty Woman qui a propulsé sa carrière et qu’elle a gagné une fortune avec ce genre de films, mais elle est heureuse qu’on lui confie désormais de rôles plus étoffés et pour la première fois, elle affiche ouvertement ses couleurs politiques. Elle est Barack Obama à 100% et souhaiterait beaucoup rencontrer la Première Famille des Etats-Unis. Elle a d’ailleurs appuyé le Parti démocrate aux dernières élections.

Trois grossesses ont marqué son corps. Elle a pris du poids, elle a des vergetures, des petites rides creusent son visage, mais elle s’en fout. Consciente qu’on ne peut pas toujours être belle et svelte à 40 ans, elle fait un pied-de-nez à ceux qui lui reprochent sa prise de poids et change de discours. Dans les entrevues, plus question de parler de ses amours, de ses enfants, de son mari ou encore de la couleur de ses rideaux. Tout ça relève du domaine de la vie privée et ne concerne personne. Elle a donc tiré un trait sur cette partie de sa vie. Plus question de se livrer aux journalistes.

Une soirée idéale pour elle par les temps qui courent? Un petit party intime où on retrouverait Oprah Winfrey, George Clooney, Tina Fey, Tom Hanks et bien sûr, les Obama.

Avec la quarantaine et la vie de famille, Julia a changé. Et pour le mieux ! Elle qui a connu un mariage raté, plusieurs déceptions amoureues, des relations houleuses respire enfin le bonheur.

Et elle savoure chaque minute de tout ça.

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