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Stuart, le joueur en désavantage numérique

Publié le 27 février 2009 par Masterfuneral

Dans le monde de Colin Stuart des fois quatre est beaucoup mieux que cinq.
Bienvenue dans les pensées d’un marqueur de buts en désavantages numérique, où que un désavantage peut se transformer en une opportunité incroyable.
Stuart qui a seulement joué 30 parties dans la LNH et déjà dans les records des Trashers avec 4 buts en carrière en désavantage numérique. Il en compte déjà trois cette saison et il se retrouve au sixième rang des meilleur marqueurs de la LNH.
Qui sait où Stuart se classerait au niveau des buts en désavantage numérique si il avait joué depuis le début de la mi-octobre ? Il était encore dans les mineure avec les Chicago Wolves à la fin janvier et a joué seulement 12 matchs avec les Trashers cette saison.
Lorsque que les Trashers ont rappelé Stuart le 30 janvier, ils avaient seulement deux buts en désavantage numérique en 50 matchs. Depuis son rappel, ils ont six buts en 11 matchs et Stuart en a marqué la moitié de ceux-ci.
Il y a une raison.
« C’est difficile de changer de vitesse et c’est ce qu’il a.» a indiqué l’entraîneur des Trashers John Anderson.
Stuart est un joueur qui aime marquer. Il dit qu’il n’oubliera jamais que sa première priorité est de tuer des pénalités. Mais il ne cesse jamais de penser qu’une équipe qui a quatre patineurs a quelque fois certains avantages par rapport a une équipe de cinq.
«Il arrive d’avoir de bonne opportunité en désavantage si vous mettez les bouchées double, parce que des fois l’autre équipe ne se donne pas la peine de bien performer» a déclaré Stuart. «Ils ont un gars en extra et des fois ils réagissent pas de la bonne façon. Parfois vous pouvez avoir des équipes de dormeur.»
« Vous pouvez prendre les défenseurs a revers car ils sont souvent hors position parce qu’ils sont plus orientés vers l’offensive vu qu’ils sont en avantage numérique.»
Il peut y avoir des avantages personnels aussi. Beaucoup d’équipes, les Trashers inclus, joue avec un avant a la pointe sur le jeu de puissance. Cela peut augmenter le niveau de qualité du jeu de puissance mais peut devenir très dangereux quand que l’équipe qui est en désavantage numérique décide de transporter la rondelle. Les avant qui sont à la pointe ne sont pas toujours capables de rester conscients de leur jeu défensif et des fois ils ne sont pas capables de faire la transition rapidement à la défense. Cela donne souvent comme résultat une échappée de l’équipe qui est en désavantage numérique.
Stuart est susceptible d’être cet attaquant qui part en échappée. Il est rapide. C’est son plus grand atout et non seulement après qu’il la position de la rondelle il est difficile de lui enlever.
«Il faut être sur de pouvoir se rendre à la rondelle.» dit-il. «Il faut être sur que vous allez être capable de faire quelque chose avec elle. Vous ne pouvez jamais quitter la zone défensive avant que la rondelle sorte de la zone. Si vous avez la rondelle ou vous créer un revirement et que le chemin est libre, si vous pouvez gagner cette bataille, alors allez-y.»
Un de ces buts marquer en désavantage a été fait sans aide, mais les deux autres ont été faits grâce au travail d’équipe. Eric Perron et Mathieu Schneider ont faites une assistance à l’un à Tampa Bay. À Los Angeles, Stuart s’est emparé de la rondelle dans la zone défensive et a fait une passe a Marty Reasoner qui s’est échappé, il a récupéré le rebond du tir de Reasoner et lui a refait une passe, Reasoner a fait une passe a Tobias Enstrom , qui a passé a Stuart pour le but.
«Vous parlez d’une équipe qui a un très bon jeu de puissance.» a déclaré Stuart. «Nous avons eu trois gars dans leur zone, et je pense que nous les avons pris aux dépourvu, et nous avons été en mesure de faire un bon jeu contre eux.»

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