Ce qui chez la femme inspire le respect et assez
souvent la peur, c’est sa nature, qui est plus ‘naturelle’
que celle de l’homme, son authentique souplesse de
bête de proie rusée, sa griffe de tigresse sous son gant,
sa naïveté dans l’égoïsme, son inéducabilité et sa sauvagerie
intime, l’aspect insaisissable, ample, vagabondant
de ses désirs et de ses vertus…
Nietzsche, Par-delà bien et mal, § 239
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