journal de routes

La barrière de sécurité, le terre-plein central, les palissades et les wagons citernes. Un peu de végétation dépassée à l’arrière avec au-dessus le ciel. Un mat d’éclairage dressé et une tache blanche au bleu du ciel.

La découpe d’un mur béton, les arbres penchés comme un tertre végétal conclu d’une masse béton effacée beaucoup derrière lesbranches.

Et le mur toujours, le tertre toujours, deux mats introduits par la gauche esquisse d’une perspective. Le bâtiment maintenant toujours une masse découpée sur le ciel, très gris, très dur comme effacé un peu à droite par un point de lumière.

Le mur anti-bruit vitré superposé des reflets, le tertre chassé à gauche et les mats pour le bâtiment droit, emboîté au ciel.

Le mur béton, les arbres surgis sur le bâtiment qui masqué reste net quand même derrière, rigide.

Des arbres maigres et sans feuilles répétés, le bâtiment resurgi voilé d’un reflet, net toujours sur le ciel, emboîté. En bas à droite des toitures enchâssées, des murs parpaings derrière des branches.

L’aspiration là bas de la route qui courbe claire et étirée. A droite, à gauche les barrière pareilles, bords de pellicule crénelée et au delà des arbres verts. Des terres ocres ou herbes sèches et le pont découpé au fond, la silhouette bleue des reliefs.

Dans l’ovale la lumière sur son cou, la courbe de son menton. Bougés.

Bord de route, berge, herbe rase, muret, haie brouillonne de ronces et arbustes.

Très nettement les bandes blanches, la barrière profilée, un muret derrière qui la souligne seulement avant une bande de paysage vallonné, animé de bosquets et buissons, sous le ciel dilué fonçant vers le haut.

Les reliefs comme peinture, comme lointain vu de près.

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A droite, masse sombre penchée. Muret béton répété surmonté d’un mur strié bicolore masquant l’accroche des choses au sol. Alors dépasse seulement trois cèdres, les troncs fuselés derrière le tube rétréci d’un lampadaire cou brisé conclu d’une capsule. Bâtiment derrière allongé beige et blanc aux fenêtres gris/bleu.

Arbres poussés à gauche, le bâtiment jusqu’à son extrémité beige et blanc, les fenêtres gris/bleu.

Le mur anti-bruit émergé à peine en bas et le bâtiment derrière comme affaissé, basculé au ciel.

Ou le mur anti-bruit redressé, continué de têtes d’arbres qui griffonnent le bâtiment tout droit quadrillé de fenêtres à égalité du ciel.

L’angle d’un hangar jeté devant à l’œil étalant sa taule. Derrière dressé une tour coiffée de cheminées et de complications.