Magazine

Le grand jeu des petits regrets

Publié le 27 mars 2009 par Dedalus

Chirac ou SarkozyMartine Aubry a déclaré : « Je me dis que finalement, on regrette Jacques Chirac […] Il avait au moins une qualité, c’est de connaître la réalité de la France […] Cela n’empêchait pas des débats assez lourds ».

Certains qui cultivent amertume et esprit revanchard se sont engouffrés pour crier au scandale et à la droitisation d'un Parti Socialiste instable sur ses valeurs. Ils oublient que leur égérie avait - c'était au temps lointain de sa splendeur médiatique - rêvé d'un François Bayrou en premier ministre. Mais c'est accessoire. Ils oublient surtout ce que relativité signifie - sans même parler d'humour.

D'autres pas et qui l'expliquent très bien.

Mais c'est un certain François Mitterrand qui sur Twitter m'a donné l'idée d'un petit jeu qui devrait permettre à tous les mauvais coucheurs de comprendre la subtilité du lien qui existe entre regrets et relativité, voire même d'entendre la différence sémantique qu'on trouve entre regrets et nostalgie :

Aubry Royal

Bien entendu, j'ouvre le bal - et de préférence en demeurant fidèle à ma petite réputation de machiste que j'essaie progressivement de me construire ici :

Depuis que je subis les incapacités culinaires de ma femme, je regrette le temps où je me nourrissais au Mac Do.


Et vous, que regrettez-vous ?


Retour à La Une de Logo Paperblog

A propos de l’auteur


Dedalus 42 partages Voir son profil
Voir son blog

l'auteur n'a pas encore renseigné son compte l'auteur n'a pas encore renseigné son compte