[En avril...]

21.4.09

Un matin d’avril, l’horizon est un néant anéanti où mes méandres nées en avril sont démentis.Des mensonges se découvres d’un fil comme le voile devant mes yeux,hante les heures qui fil. Défile le temps sur l’air d’un printemps qui gagne une ampleur de leurs, à l’heure ou mes heurts me heurtes au fond de mon cœur qui vacille et qui vrille, vers le néant de mon matin d’avril !***