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« Nuits d'ivresse printanières» : notre critique

Par Cannes En Live !


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« Nuits d'ivresse printanières» : notre critique
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« Nuits d'ivresse printanières» : notre critique
« Nuits d'ivresse printanières» : notre critique

 


La critique de Jérôme

Avant tout, je tiens à préciser le contexte de ce film particulier: Lou Ye a été poursuivi en Chine après son film Une jeunesse chinoise présenté à Cannes en 2006 et a été interdit de tourner pendant 5 ans. Ce film traitant donc de l'homosexualité et de l'obsession amoureuse a été tourné clandestinement avant d'être sélectionné en compétition officielle cette année. Le gouvernement chinois aurait réagi aujourd'hui en prolongeant l'interdiction de film. Il n'empêche, malgré toute ma sympathie pour le courageux réalisateur, son film est particulièrement pénible.

La critique de Nicolas

Bon...n'allons pas par quatre chemins, je n'ai tenu que la moitié du film. En effet, les actes filmés pouvaient encore passer avec des cowboys dans la montagne mais là...non !
C'est crû et c'est vraiment pesant. Dans la moitié que j'ai vue, les personnages s'amusent à se téléphoner (les GSM marchent du feu de dieu en Chine) et à se tourner autour (enfin sauf un qui reste de dos) dans des endroits plus ou moins sordides. Après...y'a une histoire d'amour c'est sûr...et même 2, voire 3 (et plus si affinité !).  Mais je n'ai pas pu vraiment m'attacher à la dimension poético-romantique tant l'ennui et le désir de fuir me pénétraient ardemment.
Bref...à oublier.


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