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Maroc / Déclarationde presse des familles des détenus politique à Marrakech (le groupe da Zahra Bou

Publié le 10 juin 2009 par Tanjaawi
Mes dames et Mrs,
Nous voulons par cette déclaration vous faire connaitre et faire connaitre l’opinion publique national et international et toutes les organisations de droit de l’homme et tout les défenseurs des affaires de la liberté, des nouveautés et développement du dossiers de nos fils les détenus politique à la prison locale Boulmharez à Marrakech depuis plus qu’un an.

Maroc / Déclarationde presse des familles des détenus politique à Marrakech (le groupe da Zahra Bou

Déclarationde presse des familles des détenus politique à Marrakech

Nous n’allons pas parlé ici de la torture dont ils ont été victimes depuis leurs détention puisque c’est un fait connu et témoigné par toutes les organisations de droit de l’homme nationales et internationales en lutte (le rapport d’Amnesty en relation avec le dossier de nos fils le 04-80—2008.)
Puisqu’il a dénoncé la torture systématique pratiqué sur nos fils soit à la station de police à Jmaa Lafna ou à l’intérieur de la prison Boulmharez. Ce qu’ont déclaré nos fils eux même à travers leurs témoignages, des témoignages flagrantes devant toutes les prétendue respect des libertés et réformes de la jurisprudence, des témoignages qui ont révélé la vrai face de la dite nouvelle ère de laquelle chante certains, des témoignages flagrantes de tout le sens du mot.
Ms et Mrs,
Nos fils sont des détenus d’opinion, ils ont été détenus du fait qu’ils défendent l’université marocaine contre la privatisation, et du fait de leurs appartenance à l’union national des étudiants du Maroc et à la voie démocratique basiste , et cette détention est un coup donné à leur droit à l’éxpression et à l’appartenance politique et syndicale à l’organisation des étudiants, et leur fermeté héroïque durant le combat de la grève de la faim durant 46 jours est La meilleure preuve de leurs convictions et de foi en la justesse de leur cause. Le combat durant lequel ils ont avancés des réclamations dont ils ont droit entant que détenus politique à l’intérieur de la prison, qui recouvrent la réclamation du rassemblement et de leur isolement des prisonniers de droit public, et leur droit à l’éducation et à la médication, mais leur bataille est envisagée des oreilles sourds, et les promesses de la haute commissariat des prisons sont restés Encre sur papier, et nos fils sont restés jusqu’à maintenant au milieu des prisonniers de droit public dans des conditions Inhumaines où le surpeuplement dépasse toutes les Perceptions : la transfusion des maladies et des trombidions, la transfusion des maladies sociales tel que les drogues soit dans le volet des femmes ou celui des hommes, puisque les conditions de l’éducation et celles de la vie sainte sont absente du fait du manque de la propreté et de la transfusion des des maladies et des insectes de toutes sortes.
Ms, Mrs,
La souffrance de nos fils ne s’arrête pas dans ces limites mais la dépasse jusqu’à la transgression d’un de leur essentiels droits : c’est le droit à l’étude, et ce que nous voulons marquer d’un grand trait est la machination (complot) de l’administration de l’université et celle de la prison en vue de l’expulsion de nos fils de l’université, à titre d’exemple le tripatouillage et la falsification des relevés de notes de notre fille Zahra, ce qui nous a montré clairement que l’administration posse les choses vers son expulsion de l’université même cas pour Alae Edarbali.
A ceci s’ajoute la privation de certains de nos fils du droit de la poursuite de leurs études.
Ms, Mrs,
La deuxième chose que nous voulons vous informé est la réalité des violations que connait le dossier de nos fils , puisque nous ne voyons aucun espoir d’un procès équitable, et nous nous demandons pourquoi ce grossissement du dossier de nos fils et ce report continuel du procès 5 fois successive parallèlement la continuité de l’Incarcération arbitraire de nos fils.
- Le rétrécissement sur les témoins puisque Mohamed LMouden a été détenu et passe une peine de 6 mois ferme ( jugé en première instance de 8 mois le 12-02-2009), et avant lui la témoigne Mariem Bahmou a été détenue est jugée en première instance de 8 mois ferme et en appel de 6 mois ferme.
- La privation des témoins non poursuivis d’entrer au tribunal malgré qu’ils montrent les convocations, au contraire il y a un droppage condensé de toutes sortes des forces d’oppression détective et public qui ferme toutes les trajets Conduisant au tribunal, et d’autre part le remplissage du tribunal des dizaines de policiers et agents secrets en plus de la foule répressive qui accompagne nos fils.
Ms, Mrs ;
Comme vous savez nos sit_in ont été réprimé maintes fois par les forces répressives, le 10 juin 2008 la jambe de la mère du détenus Alae Edarbali est cassé, le 18-12-2008 un membre des familles ( Toufik Chouini) est détenu et jugé de 8 mois ferme qu’il passe à Souira et avec lequel la souffrance de sa famille -qui a trois fils en prison - continue.
Et en date du 19 Mars 2009 notre sit in devant le tribunal a été réprimé sauvagement et tous les membres des familles ont été victimes des Blessures à divers degrés de gravité (voir les photos.
Et en fin le 28-05-2009 dernier à nouveau notre sit in pacifique est violement réprimé par les forces de répression ce qui a causé divers blessures et en parallèle la détention de la mère de Zahra et sa sœur et une autre militante, qui ont été soumises à toutes sortes de brimades, d'insultes et la provocation à la dégradation de la dignité durant plus de deux heures à l'intérieur de la station de police
Chers présents :
Entant que familles des détenus politique nous sommes prêts à sacrifier pour la liberté nos fils, mais nous ne sommes pas prêts à renoncer à notre dignité malgré la dureté des circonstances et L'horreur de ce que nous envisageons d’Intimidation et d’objurgation et des tentatives de nous Humilier lors des visites à nos fils incarcérés en prison ou lors de leur présence devant le tribunal et lors d’autres moments. Et nous affirmons que nous n’allons pas nous écarter du soutien de nos fils même leur destin est le notre, et nos exigences sont comme suit :
- La libération de nos fils détenus.
- La poursuite des tortionnaires responsables de la violence exercée contre les familles ( abdelhak el yaakoubi et ses collaborateurs, et Ahmed Tawal et seux qui l’aident) et qui a causé une incapacité permanente de certaines des mères ( le cas de la mère de Alae Edarbali, et l’état sanitaire de la sœur de la détenue Zahra Boudkour et la violence dont a été victime sa mère).
- Permettre à nos fils de bénéficier de leur droit à l’étude et condamner la falsification de leur résultats.
- Les isoler des prisonniers de droit public, et Fournir des conditions saines pour l'étude à notre fille Zahra.
- Découvrir la vérité dans le cas du martyr Abderrazzak Elgadri entant qu’un des soutenants des familles et qui a lutter cote à cote avec elles jusqu’à son martyr, et la poursuite de ses assassins

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