Magazine Internet

Un big ideaL : des tensions sociétales à l’idylle

Publié le 12 juin 2009 par Lilzeon

Citoyens

Un big ideaL : des tensions sociétales à l’idylle

Tu n’es pas sans savoir que je travaille pour la famille rouuuuuge et noire de la communication, Ogilvy.

Et justement, mercredi soir avait lieu au siège du Parti Communiste à Paris (allez y faire un tour un jour, on se croirait dans un film de James Bond ou de Startrek) le lancement de ce fameux Big ideaL. Un nouvel outil de communication, un canevas qui peut permettre de ‘mieux penser”.

D’un coté, des tensions sociétales. De l’autre, une marque au meilleur d’elle-même. Un résultat, presque un idylle : le Big ideaL

François Langlet, Redacteur en Chef à La Tribune, précisait un élément intéressant en début de conf’ : “c’est dans les sociétés que naissent les pulsions dominantes,pas depuis l’economie”. Il faut donc un retour au réel, au tangible. Aux gens.

Je cite Eric :

“Alors ce grand idéal, c’est quoi ? C’est ce moment d’exception où la marque au meilleur d’elle-même rencontre un tension socio-culturelle, qu’elle l’adresse, mieux, qu’elle l’enrichit de son point de vue. C’est aussi lorsque la marque admet sa contribution possible à un monde meilleur. Rien de moins. J’ai lu ici ou là que c’était une saine naïveté. Je pense au contraire que c’est une nécessaire exigeance. Sans doute réservée aujourd’hui à un club très fermé qu’on attend de voir s’agrandir.”

je cite aussi Mry :

“C’est un peu une machine à penser mieux, une forme d’ordre juste. Pour se faire, rien de plus simple : Prendre une marque (attention, Ogilvy prévient, cela ne va pas à toutes les marques) et commencer une phrase par “Le monde serait meilleur si…”. Après, à vous de remplir les pointillés. Par exemple pour Dove : “Le monde serait meilleur si, chaque jour, davantage de femmes se trouvaient plus belles”

et enfin Stéphane :

“Les marques vont elles plus vendre si elles se dotent de ce genre de cap? D’abord elles n’ont pas le choix. Pour faire face à la crise de méfiance  des générations X et Y, il est nécessaire de donner un cap, de délivrer de l’inspiration. C’est (encore) une des leçons de la campagne américaine d’Obama: l’implication se gagne sur la vision (ses livres et discours), l’inspiration (le courage et l’élégance dont il fait preuve) et la preuve (son itinéraire hors norme).”

Si ça vous intéresse, regardez cette présentation succincte :

The Big Ideal A Small Book On A Big Topic View more PDF documents from Max Borge.

Retour à La Une de Logo Paperblog

A propos de l’auteur


Lilzeon 1524 partages Voir son profil
Voir son blog

l'auteur n'a pas encore renseigné son compte l'auteur n'a pas encore renseigné son compte

Dossiers Paperblog

Magazine