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Infos vertes

Publié le 16 juin 2009 par Didier54 @Partages
Quelques infos dénichées ça et là.
C'est de saison. Les piqûres de moustique. Avec des huiles essentielles, paraît que ça se solutionne en partie. Cliquez-là. Au passage, notez que les femelles moustiques piquent et pompent le sang car elles ont besoin des protéines et du fer qu’il contient pour assurer le développement de leurs œufs.
Produits ménagers. Le bio pas franchement. Une étude montre que 77% des Français affirment savoir que l’usage des produits ménagers présente un risque pour la santé, mais leurs critères d’achat restent principalement l’efficacité et le prix ; ils recherchent rarement l’information et prennent peu de mesures de protection. Bon, l'étude est réalisée par un fabricant de produits ménagers écolos. Mais c'est intéressant quand même !
Etonnant. Chassez donc ce crapaud ! Alors que ça et là en France et notamment dans le coin, on mène des opérations de protection des amphibiens, notamment à la période de reproduction pour aider les bestioles à traverser les routes et ne pas se faire dézinguer par des bagnoles, en Australie, on fait une battue géante dans l’état du Queensland (nord-est de l’Australie) pour tenter de limiter la prolifération du crapaud buffle. Lors de ce « Jour du crapaud », des milliers de ces amphibiens ont été soigneusement triés par des spécialistes avant d’être tués. Introduit en 1935 en Australie pour lutter contre les insectes parasites dans les champs de canne à sucre, le crapaud buffle est devenu un véritable fléau pour nombre d’espèces endémiques australiennes.
Fascinantes Belles-dames. Ces papillons orange et noir venus d’Afrique, traversent actuellement la France vers le nord de l’Europe. Ces papillons venant d’Afrique sur le chemin de l’Islande ou de la Scandinavie, traversent actuellement la France. Leur passage est facilement repérable : ils volent en ligne droite à quelques mètres du sol, s’élèvent pour franchir les haies et les bâtiments, à un rythme qui peut atteindre plusieurs individus par minute. Le long trajet des Belles-dames est possible grâce à un phénomène naturel unique : la migration s’effectue sur plusieurs générations. Au gré de leur voyage ils s’arrêtent pour pondre leurs oeufs sur une grande variété de plantes sauvages. En un mois une nouvelle génération prend ainsi son envol.

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