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Rubrique nécrologique

Publié le 26 juin 2009 par Rebus

La mort de Michael Jackson, et dans une moindre mesure celle de Farrah Fawcett, a fait exploser le web, twitt par ci par là, alors que la mort aujourd'hui même dela touche A de mon clavier n'a eue aucun écho.

Pourtant, pour un type comme moi qui n'a jamais été fan de Bambi et était trop jeune à l'époque pour apprécier la Drôle de Dame, c'était achement plus embêtant.

Heureusement que j''ai réussi à dégotter un vieux clavier, sinon c'était vraiment bad.

Curieuse journée où les icônes de deux décennies, les 70'S et les 80'S disparaissent le même jour. Et éclipsent le reste de l'actualité comme le soulignent certains, tandis que d'autres révèlent leurs préférences pour des nains pourpres.

Si la mort du King of Pop m'a moins touchée que, au hasard, celles de Buckley ou Cobain, c'est quand même une part de mon adolescence qui s'enfuit. Même en n'ayant jamais été fan ( à vrai dire, avec l'intolérance propre à cet âge, je détestais franchement ) , plus porté sur des sonorités rock, new wave et punk que funk, toute personne ayant vécu les années 80 a forcément (peut être aidée par diverses boissons) dansé sur du Jackson.

Farrah Fawcett, ça m'évoque plus une mode de coiffure et des gamins courant au ralenti dans la cour de l'école, imitant son mari de l'époque, Lee Majors, plus connu sous le nom de Steve Austin.

Pour finir la parenthèse nostalgique, la politique existe encore, notamment avec le déplacement de Sarko en Martinique ou le karachigate qui continue

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