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Homme saoul à la chasse

Publié le 12 juillet 2009 par Dateurenserie

Hier j’étais chez un ami qui est en couple pour un BBQ. Sa blonde avait emmenée une amie qui est aussi en couple. Pour l’occasion j’étais avec L’Inuit. Ma blonde de service de retour de son long périple dans l’Ouest. Quelques bières enfilées une après l’autre, nous voilà saouls et moi , pris avec une terrible envie de baiser. Une terrible envie qui me ronge depuis 2 semaines. Plus même vu que ma dernière avec Val était nulle.

Ce n’était surement pas à cette soirée – fort amusante tout de même – que nous allions trouver chaussure à notre pied. Chaussure étant une femme. Le pied étant… c’est ça. Nous décidons donc, l’Inuit et moi, de partir à la conquête de la poule. Il est déjà une heure du matin, elles doivent toutes avoir hâte que j’arrive. Je rencontre la Jeune fille de 18 ans. Elle me parle un peu mais semble visiblement mal à l’aise de me voir dans un lieu public et elle s’en va. C’est la seule fille que je connais dans ce bar. On transfère donc dans un autre bar où les filles sont plus vieilles donc, par le fait même, plus difficiles. Dommage, car à une heures du matin, pas le temps de s’attaquer à des dossiers de longue haleine.

Le bar est pratiquement vide. Il y a autant d’hommes que de femmes et celles-ci semblent toutes avoir la mention « Réservée » au-dessus de leur tête. Si elles l’ont encore. Je m’accote donc au mur à l’extérieur, bière à la main, à pleurer à chaude larmes avec mon fidèle compagnon en pensant à quelle vidéo sur Youporn je vais regarder avant de dormir. Soudain, une jeune fille facile que je connais marchait dans la rue et m’aperçu. Remarquez ici l’utilisation du passé simple que je déteste et que je vais cesser d’utiliser.

Donc, elle change sa direction et vient nous rejoindre sur la terrasse. Ça y’est je score ce soir. Mais quelque chose avait changé dans son visage. Il y avait des genres de galles ou de boutons. Je ne sais pas trop c’était quoi, il faisait noir. J’étais saoul alors je n’en ai pas vraiment tenu rigueur. Je pensais et je voyais qu’avec ce qui me sert d’outil reproducteur. Comme à peu près tous les gars. Osez l’avouer.

L’Inuit, qui voyait que je flirtais long comme le bras a feint une fatigue pour nous laisser seuls. Un vrai chum. Rendus chez moi après une courte marche, on s’est mis à discuter dans ma cours. L’éclairage des lampadaires amplifiait ses plaies dans son visage et… ses bras. Je n’osais même plus imaginer où il pouvait y en avoir d’autres. C’était repoussant, je vous jure. Je devais reculer mais je ne pouvais pas lui dire qu’elle me répugnait. La solution apparue comme sur un plateau d’argent.

- En passant si je rentre chez toi, je suis dans ma semaine, attends-toi à rien. Mais je sais que je vais avoir le goût donc c’est peut-être mieux pas
- Tout à fait oui. Bonne nuit!

Dieu m’aime. Mais si tu m’aime, emmène-moi donc quelqu’un de potable!

D.


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