Farid, fils de harkis je voulais tous simplement dire...

Il ne se passe pas un jour sans que l’ensemble des médias ne rapportent ce qui se passe près de l’Assemblée Nationale. Il ne serait pas saugrenu d’imaginer un interview de ces enfants de harkis au regard de ce qu’ils ont subis et subissent au quotidien. Cela pousse même à se demander si les harkis ne sont tous simplement qu’un mythe. C’est-à-dire une erreur de l’histoire. Cette décadence serait préjudiciable à une vie harmonieuse comme seule prétexte, « il n’y a qu’un seul péché : d’être harkis ».

Cependant, je ne me vois pas à travers certains slogans, pour faire honneur à son rang, il ne faut pas porter préjudice à autrui et bafouer l’honneur de nos parents. Nous sommes d’accord que le combat puisse être mener sur le terrain comme le font ces trois enfants de harkis. Mais, la liberté d’expression du juste droit ne doit pas se confondre avec la dérive de  certains mots au grand dam de tous. Nous disons que l’expérience nous prône à modérer notre langage, certains on en fait l’amère expérience et on connaît la suite.

Il serait nécessaire de réajuster certains slogans, cette analyse en appelle maintenant au retour à une démarche salutaire. Tout le monde doit y gagner.

Ce combat doit agir sur plusieurs leviers dont un, le juste droit. Ensuite le préjudice morale et matériel et la lutte contre l’oubli.