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Scènes de la vie conjugale

Par Tibo75

Scènes de la vie conjugale, jeudi 04 octobre 2007



Genre : Drame
Réalisateur : I. Bergman
Acteurs : L. Ulmann,   E. Josephson
Année de production 1973
Pays : Suède
Durée : 2h48
Note spectateur :
Note presse : -
Synopsis (Source Allociné) : Quelques moments cruciaux de la vie d'un couple. Chronique qui s'etend sur vingt ans, en six chapitres.
Ma critique : Ce film est un condensé de six épisodes tourné pour la télévision décrivant la vie d'un couple . Mon seul et unique reproche : c'est un peu court et un peu long à la fois. Un peu court car dans certains épisodes ça va un peu trop vite et on a du mal à saisir l'instant où tout bascule alors que c'est nettement plus visible dans des films comme "Sonate d'automne". Un peu long car les six épisodes mis bout à bout durent près de trois heures. En fait, je pense qu'il faut voir ce film en deux fois, la coupure par épisodes indépendants facilitant la tâche.
Allez fini d'être négatif ! Ce film est superbe. On y voit toutes les étapes de l'évolution du couple : l'amour béat et invincible, l'usure du temps, la rupture, les tentatives de réconciliation, le renoncement, l'amitié. Tout a l'air banal : le couple d'amis qui se balancent des saloperies à la figure, le mari qui "écrase" sa femme, le mari qui se trouve une petite jeunette, la femme est évidemment la dernière à être au courant après tous leurs amis communs. Le tout agrémenté de jeux de pouvoir, séduction, solitude, violence physique lorsque les mots n'arrivent plus à exprimer la haine-amour entre la femme et son mari. C'est agrémenté de quelques phrases chocs : "Les analphabètes des sentiments", "Ce que je peux te haïr"...
Un petit regret aussi : il n'y a pas autant de couleurs vives et contrastées comme dans les autres films de Bergman que j'ai vus. Dommage...
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Pirates des caraïbes, jusqu'au bout du monde, samedi 29 septembre 2007



Genre : Aventure, Fantastique
Réalisateur : G. Verbinski
Acteurs : J. Depp,   O. Bloom
Année de production 2006
Pays : US
Durée : 2h48
Note spectateur :
Note presse :
Synopsis (Source Allociné) : L'âge d'or de la piraterie touche à sa fin. Même le terrifiant Vaisseau Fantôme et son capitaine maudit Davy Jones servent à présent Lord Cutler Beckett et la Compagnie anglaise des Indes Orientales. L'invincible Hollandais Volant écume désormais les sept mers, massacrant sans pitié pirates de tous bords et sabordant leurs navires. Will Turner, Elizabeth Swann et le capitaine Barbossa n'ont qu'une seule chance de résister à Beckett et à son armada destructrice : ils doivent rassembler les Neuf Seigneurs de la Cour des Frères, mais l'un des membres les plus éminents, le capitaine Jack Sparrow, manque à l'appel. Will, Elizabeth et Barbossa, secondés par Tia Dalma, Pintel et Ragetti, doivent faire voile vers des mers orientales inconnues, pour affronter un pirate chinois, le capitaine Sao Feng, et s'emparer des cartes qui les conduiront au-delà des limites du monde connu, là où Jack est retenu...
Ma critique : Encore pire que l'opus 2 car beaucoup plus long. Je ne sais pas comment les plus jeunes arrivent à tenir sans s'endormir. Moi, je n'y ai pas réussi !
Le film se veut inventif mais tout le monde n'est pas JK. Rowling (auteur des "Harry Potter" pour ceux qui ne sauraint pas !) et l'on tombe vite dans le ridicule et le crétin (avec toujours en prime le pirate avec sa serpillière sur la tête, vous voyez de qui je veux parler, celui qui a des tentacules...). Rajouter à cela que cela parle cent fois trop, qu'il y des tentatives d'effets ratés et qui tombent comme un soufflé (je pense à la rencontre sur langue de sable entre les différents héros de l'histoire qui commence un peu comme un duel chez Sergio Leone et finit n'importe comment).
Comme toujours, il n'y a que Johnny Depp pour sauver ce film d'un zéro étoile pointé même si malheureusement il est moins étincelant que deux les deux précédents opus.
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Conte de printemps, vendredi 28 septembre 2007



Genre : Drame
Réalisateur : E. Rohmer
Acteurs : A. Teyssedre,   F. Darel
Année de production 1989
Pays : FR
Durée : 1h52
Note spectateur :
Note presse : -
Synopsis (Source Allociné) : Pour ce premier conte des quatre saisons, "Conte de printemps", un chassé-croisé amical et amoureux entre un jeune professeur de philosophie et quelques personnages naviguant entre deux generations "libérées" de toute contrainte familiale.
Ma critique : J'ai été indulgent pour le premier de la série des "Contes" que je voyais. C'est dépouillé comme je l'aime, il y a des livres partout qui sont touchés avec amour et déplacés de lieu en lieu, il y a des dialogues philosophiques, on sent la pression monter entre les deux amies mais... l'explosion est moins forte que dans un Bergman et le cinéaste ne joue pas assez sur le registre de l'incompréhension, on ne sent pas la force de la concision d'un Kieslowksi ou d'un Bresson et c'est un poil trop long. Bref, c'est "pas mal" et pas "Waouh !!!".
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Die hard 4 - Retour en enfer, mercredi 26 septembre 2007



Genre : Action, Policier
Réalisateur : L. Wiseman
Acteurs : B. Willis,   J. Long
Année de production 2006
Pays : US
Durée : 2h20
Note spectateur :
Note presse :
Synopsis (Source Allociné) : Pour sa quatrième aventure, l'inspecteur John McClane se trouve confronté à un nouveau genre de terrorisme. Le réseau informatique national qui contrôle absolument toutes les communications, les transports et l'énergie des Etats-Unis, est détruit de façon systématique, plongeant le pays dans le chaos. Le cerveau qui est derrière le complot a tout calculé à la perfection. Ou presque... Il n'avait pas prévu McClane, un flic de la vieille école qui connait deux ou trois trucs efficaces pour déjouer les attaques terroristes.
Ma critique : Et bien voilà je l'ai vu ! Ce film est une vraie bouse. On s'embête ferme pendant les deux heures et quelques de ce rechauffé de film d'action à deux balles. Contrairement au curry d'agneau, le "Die hard" est un plat qui ne s'améliore pas quand il est réchauffé plusieurs fois.
C'est prévisible : seul contre tous, l'agent truc (zut j'ai oublié son nom, pourtant après quatre opus je devrais m'en souvenir) va sauver le monde. Au passage, il va être super blessé (le pauvre) et finir couvert de sang. Mais ce que je reproche le plus à ce film, c'est qu'il est trop conforme à son genre et ne cherche pas à dégager un seul brin d'originalité.
Une seule scène potable bien que très improbable et qui justifie la seule étoile de ce machin : la scène de poursuite dans le tunnel avec les voitures qui volent et surtout l'abattage d'hélicoptère par une voiture projettée en l'air. Amusant et bien fait.
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Harry Potter et l'ordre du Phénix, mardi 18 septembre 2007



Genre : Fantastique, Aventure
Réalisateur : D. Yates
Acteurs : D. Radcliffe,   R. Grint
Année de production 2007
Pays : UK, US
Durée : 2h18
Note spectateur :
Note presse :
Synopsis (Source Allociné) : Alors qu'il entame sa cinquième année d'études à Poudlard, Harry Potter découvre que la communauté des sorciers ne semble pas croire au retour de Voldemort, convaincue par une campagne de désinformation orchestrée par le Ministre de la Magie Cornelius Fudge. Afin de le maintenir sous surveillance, Fudge impose à Poudlard un nouveau professeur de Défense contre les Forces du Mal, Dolorès Ombrage, chargée de maintenir l'ordre à l'école et de surveiller les faits et gestes de Dumbledore. Prodiguant aux élèves des cours sans grand intérêt, celle qui se fait appeler la Grande Inquisitrice de Poudlard semble également décidée à tout faire pour rabaisser Harry. Entouré de ses amis Ron et Hermione, ce dernier met sur pied un groupe secret, "L'Armée de Dumbledore", pour leur enseigner l'art de la défense contre les forces du Mal et se préparer à la guerre qui s'annonce...
Ma critique : Le cinquième opus marque l'apogée de l'inflation du nombre de pages de la série des "Harry Potter". Plus de sept cents pages (en version anglaise) et pas énormément d'action. Comme dans les précédents volumes et le suivant, ça démarre très lentement et finit sur un rythme rapide. Il n'y a que le septième et dernier tome qui romp la tradition et est selon moi le meilleur de la série étant le plus riche et contrasté (je mets de côté l'épilogue qui est gnan-gnan mais qui plaira bien au public ado américain).
Evidemment, à partir de cette matière on ne peut faire un chef d'oeuvre mais seulement un film correct pour un lundi soir. Il y a quelques belles scènes comme le survol de Londres au début du film et la scène de bataille à la fin. En revanche, je trouve que la prophétie est beaucoup moins bien expliquée que dans le film mais j'ai peut-être zappé étant un peu assoupi par le lent rythme du film.
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Tu ne convoiteras pas les biens d'autrui (Décalogu, mardi 18 septembre 2007



Genre : Comédie dramatique
Réalisateur : K. Kieslowski
Acteurs : J. Stuhr,   Z. Zamachowski
Année de production 1987
Pays : Pologne
Durée : 0h57
Note spectateur :
Note presse : -
Synopsis (Source Allociné) : Deux freres decouvrent, apres le deces de leur pere, des armoires blindees renfermant une collection de timbres de grande valeur. D'abord attires par l'argent que represente ce tresor, ils sont peu a peu gagnes par la passion du collectionneur.
Ma critique : C'est le dernier de la série que j'ai visionnée tout au long de ces dernières semaines. Ce film clôt magnifiquement une série époustouflante. ça a été une pluie d'étoiles et même le deux étoiles de "Tu ne commettras pas de parjure" était peut-être après coup assez dur. Mais, mes exigences étaient à la hauteur de la qualité du cinéaste et de son oeuvre. Je ne connais pas encore les film pré-Décalogue de Kieslowski et il faut que j'aille les regarder (à ceux qui ne connaissent pas trop Kieslowksi, il a été révélé par la série du "Décalogue" et a ensuite réalisé quatre films : "La double vie de Véronique" et la trilogie "Bleu-Blanc-Rouge". Il est mort en 1996).
Retournons au film ! Cette fois-ci, il ne concentre pas uniquement sur un seul thème comme les précédents volumes de la série. Il aborde la cupidité, la méfiance à travers une des choses les plus futiles qui puisse exister (désolé pour les philatélistes !) : une collection de timbre. Un vieil homme sacrifie tout à sa collection et suscite bien des convoitises. C'est donc une attaque contre le matérialisme. C'est un peu moins fort que "Le Sacrifice" de Tarkovski car moins profond mais c'est aussi démonstratif. Le summum étant dans les scènes où un des deux frères est prêt à se séparer d'un rein pour un timbre ! Là, ce n'est pas vraiment par attrait du gain mais plutôt pour illustrer le deuxième thème du film : les rapports entre deux frères qui se retrouvent après la mort de leur père et cherchent à cultiver sa mémoire afin d'essayer de comprendre un peu mieux ce père si lointain. C'est aussi très fort.
Une petite remarque sur la mise en scène : à un moment (je ne me rappelle plus exactement quand), il y a un mouvement de caméra assez bizarre (une sorte de gauche-droite), je n'ai pas vraiment compris ce que cherchait à faire ici Kieslowski.
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La vengeance dans la peau, mardi 18 septembre 2007



Genre : Action
Réalisateur : P. Greengrass
Acteurs : M. Damon,   J. Stiles
Année de production 2007
Pays : US
Durée : 1h56
Note spectateur :
Note presse :
Synopsis (Source Allociné) : Jason Bourne a longtemps été un homme sans patrie, sans passé ni mémoire. Un conditionnement physique et mental d'une extrême brutalité en avait fait une machine à tuer - l'exécuteur le plus implacable de l'histoire de la CIA. L'expérience tourna court et l'Agence décida de le sacrifier. Laissé pour mort, Jason se réfugie en Italie et entreprend une lente et périlleuse remontée dans le temps à la recherche de son identité. Après l'assassinat de sa compagne, Marie, il retrouve l'instigateur du programme Treadstone qui a fait de lui un assassin et l'a condamné à l'errance. S'estimant vengé par la mort de ce dernier, il n'aspire plus qu'à disparaître et vivre en paix. Tout semble rentré dans l'ordre : Treadstone ne serait plus qu'une page noire ? une de plus - dans l'histoire de l'Agence... Mais le Département de la Défense lance en grand secret un second programme encore plus sophistiqué : Blackbriar, visant à fabriquer une nouvelle génération de tueurs supérieurement entraînés. Jason est, pour le directeur des opérations spéciales, une menace et une tache à effacer au plus vite. Ordre est donné de le supprimer. La traque recommence, de Moscou à Paris, de Madrid à Londres et Tanger...
Ma critique : Paul Greegrass (le réalisateur) aime bien le style documentaire avec la caméra qui a la bougeotte. J'ai détesté ce style pour "Vol 93" et je trouve que même si la nervosité de la caméra sert bien les scènes d'action, c'est un peu moins bien approprié pour les scènes de dialogue. ça donne mal au coeur par moments. De même le personnage en amorce d'un champ-contre-champ prenant les trois quarts de l'écran, c'est un peu ridicule.
J'ai commencé par le négatif, j'aurais plutôt dû commencer par le positif : c'est un excellent film d'action. Il y a du rythme, un minimum syndical de réflexion, une intrigue intéressante. Il y a aussi de belles vues des villes traversée par Jason Bourne, notamment la poursuite sur les toits de Tanger. Bref, dans son genre, un très bon film.
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Intervista, samedi 15 septembre 2007



Genre : Comédie dramatique
Réalisateur : F. Fellini
Acteurs : M. Mastroianni,   S. Rubini
Année de production 1987
Pays : Italie, France
Durée : 1h52
Note spectateur :
Note presse : -
Synopsis (Source Allociné) : L'aube point sur Cinecitta. le Maestro s'apprete a realiser son nouveau film inspire de "l'Amerique" de Kafka. C'est alors que surgit une equipe de television japonaise venue interviewer Federico Fellini. La suite est un delire autobiographique dont Cinecitta est le centre. "C'est un film dans lequel la camera est utilisee comme un crayon, un pinceau qui tracerait des hieroglyphes. C'est une idee graphique, picturale, visuelle, le contraire du cinema qui raconte une histoire." Prix du 40eme anniversaire du Festival de Cannes. Grand prix festival de Moscou 1987.
Ma critique : Je ne sais pas si je m'habitue aux films de Fellini mais je commence à adorer ses papillonages sans queue ni tête. Leur longueur m'avait un peu énervée dans la "Dolce Vita" peut-être aussi parce que je me sentais moins concerné par la description de la société romaine.
En même temps, dire que je m'habitue est plutôt négatif. C'est un peu comme dire que l'on s'habitue à l'huile de foie de morue. En fait, c'est toujours aussi mauvais mais on oublie... Je pense que pour l'art en général et Fellini en particulier, il ne s'agit pas de s'habituer mais d'apprendre à apprécier les milles détails et la richesse de l'oeuvre. On peut voir les films de Fellini comme une succession de saynètes deliées ou voir toute la profondeur des thèmes abordés par chacune d'elles.
Ici, c'est un hommage à Cinecetta, au cinéma avec quelques très très belles scènes (et d'autres très belles) comme la rencontre de Mastroianni et Anita Ekberg plus de quinze ans après "La Dolce Vita" ou bien encore l'attaque des indiens armés d'antennes de télévision.
Il y a peut-être un peu moins de couleurs que dans "Casanova" ou "Satyricon" mais c'est quand même toujours esthétiquement bien fait.
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Ceux qui restent, samedi 15 septembre 2007



Genre : Drame
Réalisateur : A. Le Ny
Acteurs : V. Lindon,   E. Devos
Année de production 2006
Pays : FR
Durée : 1h34
Note spectateur :
Note presse :
Synopsis (Source Allociné) : Bertrand et Lorraine sont ceux qui restent... Ils sont ceux qui arpentent les couloirs en se posant des questions interdites, se font repérer au kiosque à journaux, parlent trop fort à la cafétéria, et vont fumer en cachette sur le toit de cet hôpital où leurs conjoints se font soigner. Car pour supporter la culpabilité d'être bien vivants, Bertrand et Lorraine ont décidé de s'aider à vivre, à rire et à continuer d'aimer.
Ma critique : Je suis un peu partagé sur ce film, d'où les deux étoiles.
Le thème est fort : un homme et une femme se retrouvent lors de leur visite à leur conjoint hospitalisés pour un cancer. L'un et l'autre réagit différement : Bertrand en se renfermant et Lorraine se distingue par ses extravagances.
C'est très bien traité par moments : avec beaucoup de pudeur et sans pathos (notamment on ne voit jamais les malades) mais par moment les dialogues sont ridicules et sonnent faux. Tout comme les rapports entre Bertrand et sa belle-fille.
En revanche côté acteur, c'est parfait. Vincent Lindon et Emmanuelle Devos collent parfaitement à leurs rôles.
Heureusement il n'y a pas de happy end à l'américaine et le film finit de façon assez ouverte ce qui est plutôt bien.
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Tu ne mentiras pas (Décalogue 8), mardi 11 septembre 2007



Genre : Comédie dramatique
Réalisateur : K. Kieslowski
Acteurs : T. Lomnicki,   A. Barcis
Année de production 1987
Pays : Pologne
Durée : 0h55
Note spectateur :
Note presse : -
Synopsis (Source Allociné) : Zofia, professeur d'ethique a l'universite de Varsovie, est poursuivie par un sentiment de culpabilite. Pendant la guerre, elle refusa d'etre la marraine d'une petite fille juive, Elizabeta, qui, pense-t-elle, est morte. Or, un jour, une jeune Americaine assiste a son cours. C'est Elizabeta.
Ma critique : Film sur la culpabilité liée au mensonge ou même le mensonge pour effacer la culpabilité. Une spécialiste des cas de conscience n'a pas réussi à résoudre le sien. C'est encore une fois bien fait. En plus, Kieslowksi reboucle avec "Tu ne commettras pas le parjure" en montrant le professeur traitant cet épisode comme un cas.
Ce qui m'a aussi interpellé dans ce film (et de plusieurs autres de la série), c'est la façon dont le cinéaste montre la vie plutôt spartiate de représentants de professions dites "supérieures" (médecin, professeur) ou plutôt d'"intellectuels". ça fait assez idéal communiste.
Une belle image dans ce film : dans l'amphithéâtre les champs - contre-champs sur les élèves et le professeur nous font croire qu'ils sont très proches puis, un plan d'ensemble nous montre finalement qu'ils sont éloignés (reflète aussi l'évolution du débat qui crée cet éloignement).

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