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Tommy Hyland: le roi du comptage partage aux joueurs ses expériences

Publié le 01 octobre 2008 par Blackja74

Tommy Hyland est l’un des compteurs de cartes les plus célèbres du monde. Les casinos américains le connaissent et le reconnaissent. C’est pourquoi il n’est pas une présence très agrée dans ces établissements. Puisqu’on peut tirer des leçons de son expérience, on redonnera ici quelques morceaux d’une interview qu’il a donnée en 2003
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“Dans quel moment avez-vous commencé à jouer au blackjack?

T.H.:  C’était 1979. J’allais à l’école en Ohio et moi, comme mon collègue, nous étions les deux intéressés par les jeux. Il nous est arrivé un jour de nous trouver dans un mall et nous avons vu le livre de Revere “Playing blackjack as a business”. Nous l’avons acheté et lu et, ensuite, nous avons commencé à jouer. , par ex.: j'ai travaillé.">, par ex.: j'ai travaillé.">, par ex.: j'ai travaillé.">A vrai dire, j’ai commencé à jouer plein-temps en avril 1979.

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Avez-vous fait de l’argent dès le début?

T.H.
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J’en ai fait assez. Je n’avais pas beaucoup d’argent pour commencer. C’étaient quelque 1,000 ou 2,000
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, mais les casinos se “rendaient” vite, c’était une règle qui nous donnait l’avantage réel. Après quatre ou cinq mois, mes fonds étaient déjà à 4,000
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. Et, ce qui m’a fait réellement continuer, c’est le fait d’avoir appris à un copain de jouer comme moi. Il avait quelques milliers de dollars et nous jouions chacun sur son propre compte, mais nous avons rencontré les deux autres compteurs qui jouaient à de petites mises en Atlantic City et c’est comme ça que nous nous sommes mis en route. Nous avons mis chacun 4,000
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, ce qui faisait d’un coup 16,000
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. les gains n’ont pas été longs à venir. Après environ un mois ou moi.">mois ou moi.">mois ou moi.">mois, nous avons mené les 16,000
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à 60,000
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.”

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Après ce succès initial avec votre équipe de quatre, qu’est-ce que vous avez fait?

T.H. : Eh bien, deux de notre équipe - Doug et Dave- ont acheté “Blackjack in Asia”, un livre qui parlait de quelques jeux en Asie qui se jouaient selon des règles magnifiques, ils ont décidé, donc, d’aller en Asie. A cette époque, j’avais entre 50,000
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et 100,000
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et je pensais que j’étais le plus riche gars du monde, même si je n’était qu’un gamin de 23 ans. J’ai décidé d’entraîner plusieurs de mes amis. J’allais mettre l’argent et eux, ils allaient remporter un pourcentage de ce qu’ils gagnaient. (…) Ensuite, les choses ont pris des proportions.”

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Avez-vous jamais financé 30 ou 40 personnes?

T.H. : J’étais l’investisseur principal, mais ces gens gagnaient et réinvestissaient une partie de leurs gains et nous avons eu aussi d’autres investisseurs- parents ou proches. Beaucoup de personnes se sont impliquées.

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A combien s’élevaient les mises?

T.H.:  Ils pariaient le maximum de la table à un très petit avantage (0,5
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). Nous voulions faire cela.">cela.">cela.">ça aussi parce que nous avions lu dans les livres que plus le nombre des le Canada, Edmonton, etc.">le Canada, Edmonton, etc.">le Canada, Edmonton, etc.">paris est élevé, plus le taux des gains par heure est élevée.

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Ok, donc, vous avez eu du succès, vous vous êtes développé et l’équipe est arrivée à 30 ou 40 personnes. Que s’est passé après?

T.H. Ce qui s’est passé après a été un peu encombrant. En Atlantic City, on a changé la règle dans les casinos et il est devenu un peu plus difficile pour nous de battre. On devait être plus expérimenté et plus discipliné. Nos fonds ont commencé à diminuer. On a eu un peu de pause et certains ont décidé de jouer à leur propre compte. Nous avons changé Atlantic City pour Vegas. “

R: “Où sont vos équipes à présent? Est-ce que vous jouez partout aux Etats-Unis? Vous êtes tous ensemble ou chacun a pris voie (“chemin”) ou voix (“son humain”).">voie (“chemin”) ou voix (“son humain”).">voie (“chemin”) ou voix (“son humain”).">sa voie?

T.H. “Nous ne jouons plus tant en Atlantic City ou à Las Vegas comme nous le faisons jadis. Ces jeux ne sont pas aussi généreux qu’ailleurs dans le pays, donc nous nous sommes répandus partout. Vous savez, quand on entend parler d’une “équipe de blackjack“, on pense qu’on va tous ensemble au même casino, on s’asseoit à la même table et on joue, mais on ne fait pas comme ça. En principal, nous faisions un fonds collectif, tout en suivant les résultats de chacun. Après, à un moment préétabli, on partageait le profit.”

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Quel est, selon vous, le plus grand changement au blackjack, depuis vos premières années?

T.H.
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Les choses ont bien changé. Je pense que le plus grand changement est la prolifération des casinos. au lieu de cela (au lieu ne peut pas être utilisé tout seul).">au lieu de cela (au lieu ne peut pas être utilisé tout seul).">au lieu de cela (au lieu ne peut pas être utilisé tout seul).">Au lieu d’avoir deux États avec blackjack, au moins la moitié des États ont maintenant blackjack. Les casinos deviennent plus expérimentés. La diffusion de l’information est un énorme changement. Cela a été mauvais pour nous. Nous n’avons pas bénéficié de la technologie comme les casinos l’ont fait. Si vous avez été proscris dans un casino à Las Vegas, peut-être qu’une semaine plus tard, tous les casinos de Las Vegas auraient votre photo. Alors, c’est ça le grand changement. Les jeux se sont certainement empirés, mais ils se sont également multipliés, donc, il est toujours possible de se faire une belle vie avec le blackjack.

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Comment voyez-vous l’avenir pour le blackjack? De toute évidence, il y a un jeu de chien et chat entre vous et les casinos. Pensez-vous que vous soyez toujours en mesure de le faire? Ou bien, pensez-vous que les casinos trouvent les moyens de vous empêcher?

T.H.: Heureusement pour nous, les machines qui mêlent les cartes ne semblent pas être trop populaires auprès du grand public. L’attraction de blackjack repose principalement sur sa réputation de jeu où l’on peut battre le casino. Ainsi, les casinos ne prendraient pas le risque de rendre le jeu totalement imbattable avec un “shuffle” continuel. Ce que j’ai remarqué, c’est que la plupart des casinos feront ça pour les tables à petites limites, mais pas pour celles à de hautes limites, parce que les gros parieurs n’il a mangé (ou la préposition à devant l'infinitif, par ex.: il continue à faire des changements).">il a mangé (ou la préposition à devant l'infinitif, par ex.: il continue à faire des changements).">il a mangé (ou la préposition à devant l'infinitif, par ex.: il continue à faire des changements).">auraient plus jouer. (…) Les gens aiment l’idée d’avoir un bon sabot et que Veuillez vérifier : ça (“cela”) ou sa (forme possessive).">Veuillez vérifier : ça (“cela”) ou sa (forme possessive).">Veuillez vérifier : ça (“cela”) ou sa (forme possessive).">ça marche vite. Les sabots sans fin ne semblent pas être très populaires auprès du grand public. Je pense que, la décennie à venir, il y aura de l’argent à faire au blackjack. Si l’on change de place et qu’on soit discipliné, il est toujours possible de vivre du blackjack.”


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