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Le méchant CH

Publié le 16 septembre 2009 par Chesc0

pacioretty_maxJacques Martin: «Les gens pensent que parce qu’une équipe n’est pas costaude, elle ne peut pas jouer de façon robuste”.

«Or, durant la finale entre Detroit et Pittsburgh, le printemps dernier, on a vu que Detroit n’était pas une grosse équipe sauf qu’elle peut jouer physiquement. Les joueurs terminent leurs mises en échec.

«La grosseur n’est pas importante. Il n’y a que la grosseur du coeur qui compte.»

«Les gars n’ont pas besoin de sortir l’adversaire de la patinoire, mais ils doivent s’appliquer à le sortir du jeu. Car le plus important reste d’être sur la rondelle.

«Ça fait partie des habitudes de travail qu’on veut installer.»

Andrew Conboy (un but et cinq tirs au but dans le match d’ hier, sans oublier ses nombreuses mise en échec):  «C’est toujours en jouant de cette façon que j’ai fait mon chemin».

Guillaume Latendresse:  «D’un côté, je sens qu’il y a plus de recrues au camp. Et de l’autre, je dirais qu’à part Jaroslav Spacek et Hal Gill, nos vétérans sont de jeunes vétérans. Mike Cammalleri a 27 ans, Scott Gomez en a 28.”

«L’an passé, nos meilleurs joueurs - Saku, Kovalev, Tanguay - n’étaient pas des gars qui jouaient physiquement. Tandis que là, Brian Gionta est un gars qui va dans la circulation; Cammalleri peut jouer cheap.”

«Quand tes meilleurs joueurs jouent de cette façon, les autres suivent.»

Max Pacioretty: «Effacer cette étiquette d’équipe soft ne se fera pas en laissant tomber les gants continuellement, mais en finissant nos mises en échec et en n’ayant pas peur d’aller dans les coins».

«Pour ma part, je sais que ça fait partie intégrante de mon jeu. Mais je ne veux pas me mettre hors position simplement pour aller frapper un adversaire.»


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