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Vaccins, une nouvelle arme de bioterrorisme?

Publié le 22 septembre 2009 par Ferner
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"Selon les renseignements américains, d'ici 2015,

quelque 3 milliards de personnes

seront "de trop", notre planète s'attend ainsi à une surpopulation."L'activation" des différents virus

susceptibles de déboucher sur la mort massive de gens est une stratégie globale

destinée à réduire la population de la planète"

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"Le plus sûr moyen de limiter l'épidémie de grippe,

c'est surtout de ne pas se faire vacciner".

Lorsque nous avons dénoncé l'imposture scientifique que constituait le principe même du vaccin, nous étions loin de nous douter qu'elle cachait une réalité beaucoup plus inquiétante dont beaucoup ont pris conscience à l'occasion de la dramatisation à outrance par les médias et les pouvoirs publics  de la grippe A/H1N1. Les grands laboratoires, l'américain Baxter en tête, sont soupçonnés de mettre dans leurs vaccins des adjuvants toxiques susceptibles de provoquer des maladies graves, voire mortelles en vue de décimer une partie de la population. Affabulation, paranoïa, voire théorie du complot? Pas sûr, même s'il peut y avoir une part d'exagération, et plutôt inquiétant, quand on sait
qu'il estt possible d'utiliser le vaccin comme une arme de bioterrorisme. C'est en tout cas la conviction de la journaliste Jane Bürgermeister qui intente une action judiciaire contre l'OMS (Organisation Mondiale de la Santé).

Un génocide programmé?

Le mieux est de reproduire in extenso l'article de SpreadTheTruth.fr concernant cette plainte :
"Un journaliste intente une action judicaire contre l’OMS et les Nations Unies qui ont l’intention d’organiser un génocide de masse !
Au moment où approche la date de la diffusion du vaccin Baxter’s A/H1N1 contre le virus de la pandémie, grippe, prévue en juillet, un journaliste d’investigation autrichien prévient le monde que le plus grand crime de l’histoire de l’humanité est en cours. Jane Bürgermeister a récemment intenté une action judiciaire contre l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), les Nations Unies (ONU), et contre plusieurs hauts responsables du gouvernement et des entreprises pour bioterrorisme et pour tentative de meurtre de masse. En outre, elle a préparé une demande en injonction contre la vaccination forcée que l’on dépose auprès des tribunaux américains en ce moment. Ces actions viennent à la suite des poursuites qu’elle a engagées en avril contre les entreprises Baxter AG et Avir Green Hills Biotechnology de l’Autriche pour avoir produit un vaccin contaminé contre la Grippe aviaire. Elle affirme que c’était un acte délibéré visant à provoquer une pandémie et d’en tirer profit par la suite. Synthèse des revendications et accusations portées conjointement avec le FBI le 10 juin 2009. Dans son dossier d’inculpation, Bürgermeister apporte des preuves d’actes de bioterrorisme, c’est-à-dire en violation de la loi des États-Unis, commis par un groupe exerçant ses activités sur le territoire des États-Unis et sous la direction des banquiers internationaux qui exercent un contrôle sur la Réserve Fédérale, ainsi que sur l’OMS, l’ONU et l’OTAN. Cet acte de bioterrorisme a pour but de commettre un génocide de masse contre la population des États-Unis en utilisant un virus génétiquement modifié de la pandémie de la grippe, avec pour intention de provoquer la mort. Ce groupe a infiltré les bureaux des hauts responsables de l’administration aux États-Unis. Les chefs d’accusation sont portés, entre autres, à l’encontre des personnalités suivantes: Barack Obama, Président des États-Unis, David Nabaro, coordonnateur du système des Nations Unies pour la lutte contre la grippe, Margaret Chan, Directrice Générale de l’OMS, Kathleen Sibelius, Secrétaire du Département de la Santé et du Personnel, Janet Napolitano, Secrétaire à la sécurité intérieure, David de Rotschild, banquier,David Rockefeller, banquier, George Soros, banquier, Werner Faymann, chancelier de l’Autriche, Alois Stoger,ministre autrichien de la santé. Elles font partie de ce syndicat international des criminels d’entreprise qui a mis au point, produit, accumulé et utilisé des armes biologiques afin d’anéantir la population des États-Unis et celle d’autres pays avec pour objectif d’obtenir des retombées politiques et financières.
Ces chefs d’accusation soutiennent que les accusés ont ourdi une conspiration les uns avec les autres et avec d’autres personnalités pour concevoir, financer et participer à la phase finale de la mise en œuvre d’un programme secret de fabrication des armes biologiques impliquant des firmes pharmaceutiques, telles que Baxter et Novartis. Ils y sont parvenus en mettant au point par des techniques biologiques et diffusant des agents biologiques mortels, en particulier, le virus de la «grippe aviaire » afin de s’en servir comme prétexte pour mettre en œuvre un programme de vaccination forcé. Ce dernier donnerait l’occasion d’administrer un agent biologique pour provoquer la mort et des dommages au peuple des États-Unis. Cet acte constitue une violation directe de la Loi antiterroriste sur les Armes Biologiques. Les Charges réunies par Bürgermeister contiennent des preuves que Baxter AG, une filiale autrichienne de Baxter International, a délibérément transmis à 16 laboratoires de quatre pays 72 kilos de virus de la grippe aviaire dont la fourniture a été faite par l’OMS au printemps 2009. Elle soutient que ces preuves constituent une claire indication que les firmes pharmaceutiques et les agences internationales du gouvernement, elles-mêmes, sont activement impliquées dans la production, la mise au point, la fabrication et la distribution des substances biologiques considérées comme les armes biologiques les plus mortelles sur terre, afin de déclencher une pandémie et de provoquer le meurtre de masse. Dans les charges qu’elle a présentées en avril, elle a fait remarquer que le laboratoire de Baxter en Autriche,l’un des laboratoires de biosécurité, supposés être les plus sûrs au monde, n’a pas pris les précautions les plus essentielles et les plus élémentaires pour sécuriser 72 kilos d’un agent pathogène classé comme arme biologique, et pour le séparer de toutes les autres substances conformément à la réglementation stricte du niveau de biosécurité. Au contraire, elle l’a mélangé avec le virus ordinaire de la grippe humaine et expédié à partir de ses installations de Orth dans le Danube. En février, lorsqu’un employé de Bio Test en République Tchèque a testé le matériel considéré comme candidats vaccins sur les furets, ces derniers en sont morts. L’OMS, l’U.E. ou les autorités sanitaires autrichiennes n’ont organisé aucune enquête à la suite de cet incident. Aucune enquête n’a été réalisée pour connaître le contenu du matériel génétique du virus et on ne dispose d’aucune séquence génétique du virus libéré. En réponse aux questions parlementaires le 20 mai, le ministre autrichien de la santé, Alois Stoger, a révélé que cet incident avait été traité non pas comme une défaillance en matière de biosécurité, mais comme une infraction commise vis-à-vis du code vétérinaire. Un vétérinaire fut envoyé au laboratoire pour réaliser une brève inspection. Le dossier présenté par Bürgermeister révèle que la diffusion du virus devait constituer une étape importante dans le projet de provoquer une pandémie qui serait l’occasion pour l’OMS de relever son niveau d’alerte à 6. Elle dresse une liste de lois et décrets qui permettre à l’ONU et à l’OMS de suppléer les États-Unis au cas où la pandémie se déclare. En outre, la législation imposant la mise en place d’un programme de vaccinations obligatoires serait appliquée aux États-Unis sous réserve de la déclaration de la pandémie. Elle porte l’accusation selon laquelle tout le problème de la pandémie de la “grippe porcine” repose sur un tas de mensonges disant qu’il n’existe aucun virus naturel qui soit une menace pour les populations. Les accusations de la journaliste comporte des preuves qui montrent que les virus de la « grippe aviaire » et de la« grippe porcine » ont, en réalité, été mis au point, dans les laboratoires, par des techniques biologiques grâce aux financements accordés par l’OMS et, entre autres, par d’autres agences gouvernementales. La“grippe porcine” est une maladie hybride. Elle est formée des éléments de la grippe porcine, de la grippe humaine et de la grippe aviaire. Ainsi composée, c’est quelque chose qui vient forcément des laboratoires,selon la plupart des experts. Les appels lancés par l’OMS pour attirer l’attention sur la progression de la « grippe porcine » et souligner la nécessité de déclarer une pandémie ne prennent pas en considération les causes fondamentales de cette épidémie. Les virus diffusés ont été créés et répandues avec l’aide de l’OMS. De ce fait, cette organisation porte d’abord une large part de responsabilité en ce qui concerne la pandémie. Par ailleurs, les symptômes de la prétendue « grippe porcine » ne peuvent être distingués de ceux de la grippe ordinaire ou du simple rhume. La “grippe porcine” ne provoque pas plus la mort que ne le fait la grippe ordinaire. Bürgermeister souligne que le nombre de cas mortels attribués à la « grippe porcine » est contradictoire et que l’on n’a aucune idée sur la manière dont le nombre de « victimes » a été recueilli. Il n’existe pas de risque de pandémie à moins qu’une campagne de vaccination de masse soit organisée pour faire de la grippe une arme sous le prétexte de protéger la population. Il existe des motifs légitimes pour croire que les vaccins obligatoires seront à dessein porteurs de maladies particulièrement mortelles. Elle cite le cas d’un vaccin agréé produit par Novartis et destiné à lutter contre la grippe aviaire. C’est un vaccin qui a causé la mort de 21 personnes sans abri en Pologne au cours de l’été 2008. Le « critère d’évaluation primaire » en était un « taux d’effets indésirables ». Ainsi, ce critère répondait à la définition d’une arme biologique qui est justement celle du gouvernement des États-Unis (une substance biologique conçue pour provoquer un taux d’effets secondaires, par exemple, la mort ou la blessure) disposant d’un mode d’administration (injection). Elle affirme que le même groupe international d’entreprises pharmaceutiques et d’agences internationales du gouvernement qui a mis au point et diffusé le matériel de la pandémie se sont positionnés pour tirer profit de la situation de pandémie ainsi créée en remportant des contrats de fourniture de vaccins. Le groupe qui a mis sur pied le plan de la “grippe porcine” contrôle des médias, et ceux-ci se chargent de la désinformation dont le but est d’endormir le peuple des États-Unis afin qu’il accepte ce dangereux vaccin. Le peuple des États-Unis sera victime de souffrances considérables et de dommages irréparables s’il est contraint d’accepter ce vaccin dont l’efficacité n’est pas prouvée, s’il le prend sans son consentement,conformément au Model State Emergency Health Powers Act, National Emergency Act, National Security Presidential Directive/NSPD 51, Homeland Security Presidential Directive/HSPD-20 et à l’International Partnership on Avian and Pandemic Influenza. Depuis 2008, aux Etats-Unis, Burgermeister explique que ceux, dont les noms apparaissent dans son dossierd’accusation, ont mis en application de nouvelles lois et/ou accéléré la mise en œuvre une législation conçue pour priver les citoyens des États-Unis de leurs droits constitutionnels légitimes de refuser cette injection. Ils ont ainsi apporté ou maintenu des dispositions qui font en sorte que le refus de se faire vacciner contre les virus de la pandémie devienne un délit. Ils ont, en outre, imposé des amendes excessives et cruelles, telles que la peine d’emprisonnement et/ou la mise en quarantaine dans les Camps d’internement FEMA. Parallèlement, ils empêchent aux citoyens des États-Unis de réclamer des dommages suite aux blessures et à la mort causées par la vaccination forcée. Ces mesures constituent une violation des lois fédérales contre la corruption et l’abus de pouvoir et de la Constitution et de la Déclaration des droits. En prenant ces actions, les accusés dont les noms sont cités posent les bases d’un génocide de masse. Se servant de la “grippe porcine” comme prétexte, les accusés ont planifié, au préalable, le meurtre de masse des populations des États-Unis au moyen de la vaccination forcée. Ils ont mis en place un vaste réseau de camps de concentration FEMA et identifié des sites devant servir de charniers. En plus, ils sont impliqués dans la conception et l’exécution de plans pour qu’aux États-Unis, le pouvoir soit confié à un syndicat international de crime organisé, en violation des lois qui prévoient et réprime la haute trahison. Selon les accusations de Bürgermeister, le groupe de firmes pharmaceutiques comprenant Baxter, Novartis et Sanofi Aventis font partie d’un programme de fabrication des armes biologiques à double but conçu à l’étranger. Le financement de ce programme, conçu pour concrétiser les tueries de masse, est assuré par le syndicat international des criminels. L’objectif dudit programme est de réduire la population mondiale de plus de 5 milliards de personnes dans les dix prochaines années. Leur projet de répandre la terreur pour justifier le fait de contraindre les hommes à renoncer à leurs droits et de mettre en quarantaine de nombreuses personnes dans les camps de concentrations de la FEMA. Les habitations, les entreprises et les propriétés des victimes seront libres et à la portée de ce syndicat. L’élimination de la population d’Amérique du Nord permettra à cette élite internationale d’avoir accès aux ressources naturelles de ces régions, à savoir l’eau et les zones pétrolifères non exploitées. Par ailleurs,l’élimination des États-Unis et la suppression de sa constitution démocratique assureront au groupe de crime international le contrôle total de l’Amérique du Nord". (Tous droits réservés SpreadTheTruth.fr, reproduction autorisée pour les bloggers à condition de CITER CLAIREMENT SpreadTheTruth.fr, reproduction strictement interdite pour tous les médias en ligne. Traduction réalisée par l’équipe de SpreadTheTruth.fr).
Cette action judiciaire a trouvé un écho en France, avec Mirella Carbonatto, présidente fondatrice de l'association "Sos-justice et droits de l'homme" qui a déposé une demande d'ouverture d'une enquête criminelle auprès du parquet de Nice.
Autant le dire tout de suite, nous ne souscrivons pas à cette vision apocalyptique d'un génocide généralisé car pour qu'un crime profite à ses auteurs, on ne voit pas quel intérêt ils auraient  à décimer une population qui les fait vivre économiquement. Ce serait suicidaire de leur part. En revanche, et en ce qui concerne les pays occidentaux, on peut les soupçonner de vouloir contaminer une part suffisamment importante de la population pour justifier un état d'urgence tel qu'il conduise à une restriction des libertés publiques. Quant aux pays du Tiers-Monde dont certains connaissent de graves problèmes démographiques, la tentation d'un nouvel eugénisme est grande, ainsi que le déclare un expert russe:
25/05/2009 15:50 MOSCOU, 25 mai - RIA Novosti. Le virus de la grippe A/H1N1 a été créé de façon artificielle pour réduire la population de la Terre, estime Leonid Ivachov, ancien chef de la Direction de la coopération militaire internationale du ministère russe de la Défense et président de l'Académie des problèmes géopolitiques.
"De mon point de vue, l'attention soutenue portée au problème nucléaire permet de détourner l'opinion publique des principales menaces que sont les épidémies", a déclaré lundi à RIA Novosti M.Ivachov.
Selon lui, toutes les épidémies actuelles ont été créées dans des laboratoires. "Les médecins militaires détiennent la formule de la pneumonie atypique qui a donné naissance au virus. La grippe aviaire a également une origine artificielle", a noté l'expert.
"Selon les renseignements américains, d'ici 2015, quelque 3 milliards de personnes seront "de trop", notre planète s'attend ainsi à une surpopulation."L'activation" des différents virus susceptibles de déboucher sur la mort massive de gens est une stratégie globale destinée à réduire la population de la planète", a déclaré M.Ivachov.
Samedi, l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) a confirmé 12.022 cas de contamination par le virus A/H1N1 dans 43 pays du monde ".


Autre élément qui peut accréditer la thèse d'une contamination volontaire des populations par la vaccination: lors de la visite en mars 2009 de Nicolas Sarkozy au Mexique, c'est en sa présence et celle du président mexicain Felipe Calderon, que fut annoncée officiellement la construction d'une usine par Sanofi-Aventis en vue de produire des vaccins contre la grippe A et H1N1. Quelques semaines plus tard, c'est au Mexique que furent recensés les premiers cas de grippe H1N1, début de l'épidémie constatée aujourd'hui. Curieuse coïncidence... Autre élément à verser au dossier: l'OMS ne cesse de parler de pandémie que l'on définit comme une épidémie touchant une part exceptionnellement importante de la population et présente sur une large zone géographique. Cet organisme spécule sur la peur collective pour tenter d'imposer à ses pays membres des mesures de vaccination obligatoire en mettant le niveau d'alerte en phase 6, celui précisément de la pandémie. Ce qu'on ne nous dit pas, c'est que l'OMS a révisé ses critères de pandémie: avant, c'était à partir de 125 cas pour 1000, maintenant, le seuil a été abaissé à 87 pour 1000. Il y a incontestablement une tricherie destinée à servir la soupe aux grands laboratoires. Ses fantasmes de pandémie se trouvent démentis par la situation sanitaire dans l'hémisphère sud où l'hiver, saison propice au virus grippal, vient de se terminer: la pandémie n'a pas eu lieu et l'Argentine, pays où l'OMS redoutait une catastrophe sanitaire a enregistré moins de morts dus à la grippe que pour l'hiver austral 2008. Et en ce qui concerne l'Australie, la Nouvelle-Zélande, ou la Nouvelle-Calédonie, on a bien enregistré des cas de grippe A, sans plus et dans ce territoire d'outre-mer, la population n'a même pas porté de masques, c'est dire si elle n'était pas affolée (elle n'avait aucune raison de l'être). Si la situation calédonienne a été relatée dans la presse écrite quoique discrètement, les médias audiovisuels ne l'ont pas fait, sinon comment va-t-on faire peur à nos concitoyens? A l'inverse, que n'aurait-on pas dit si une réelle pandémie s'était déclarée dans l'hémisphère sud. Pourtant, un doute s'insinue en France dans l'esprit de nos autorités sanitaires: le haut conseil de la santé publique ne préconise pas la vaccination obligatoire. Cet organisme doute-t-il de l'efficacité du vaccin contre la grippe A/H1N1? Il semble plus prosaïquement que l'État veuille se prémunir face à d'éventuelles et coûteuses indemnisations qui ne manqueraient pas de lui être réclamées si le vaccin produisait de graves effets secondaires, préférant se défausser sur les laboratoires qui en seraient alors seuls responsables. Il est d'autant plus enclin à le faire que les AMM (autorisations de mise sur le marché) seront délivrées début octobre par les autorités sanitaires sans que soient effectuées au préalable les expérimentations que le Code de la Santé publique rend pourtant obligatoire. Le gouvernement le justifie par l'urgence de la situation, invoquant le caractère soudain de l'épidémie qui impose aux laboratoires un délai très court pour élaborer le vaccin face à ce qui apparaît comme  un nouveau virus. Comment le croire quand on sait que Baxter a déposé un brevet sur le vaccin contre le virus grippe A et B et ses dérivés le 28 août 2007 et l'a obtenu le 31 août 2008, soit vingt mois avant que l'OMS déclare l'état de pandémie? Cela renforce l'idée que la grippe H1N1 a été déclenchée artificiellement et que l'on veut éviter à ce vaccin des tests cliniques qui ne manqueraient pas d'en démontrer la nocivité. Et tout cela pour une "gripette" comme l'a souligné le professeur Bernard Debré, le docteur Marc Girard abondant dans le même sens. Du reste, de plus en plus de professionnels de la santé contestent l'efficacité des vaccins en général si bien que cette affaire de grippe A/H1N1 commence à ébranler sérieusement le dogme vaccinal.


Vers la fin du dogme vaccinal?


Il y a deux ans, les débats autour de la vaccination sur le site Agoravox relevaient du bras de fer, aujourd'hui, c'est sa contestation qui l'emporte très nettement à travers les articles et les forums. Le public qui fréquente ce site étant bien réparti en ce qui concerne les classes d'âge qui sont toutes représentées, on peut y voir un indicateur intéressant, quoique non exclusif, d'une opinion publique qui est en train de se retourner contre l'imposture scientifique inoculée par Pasteur: le vrai virus, c'est celui qu'on met dans nos têtes depuis plus d'un siècle, aggravé par cette intoxication anxiogène propagée par les pouvoirs publics avec l'aide des médias.
Donc, le plus sûr moyen de limiter l'épidémie de grippe, c'est surtout de ne pas se faire vacciner. Et pour ceux à qui on voudrait l'imposer, il faut s'y opposer en invoquant la loi car l'AMM délivrée par le ministère de  la santé est illégale puisqu'elle fait l'impasse sur les expérimentations en violation du Code de la santé publique (Articles R512-10 à 5121-15) et en menaçant de déposer plainte pour mise en danger d'autrui. Cette affaire de grippe A/H1N1 peut nous donner l'occasion d'en finir avec l'obligation vaccinale, car "la vaccination est la plus grande escroquerie médicale de tous les temps". (Pr Tissot)


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