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La ville qui ne dort jamais

Publié le 04 octobre 2009 par Irene

La ville qui ne dort jamais La ville qui ne dort jamais La ville qui ne dort jamais Comment résumer une journée de plus à New York, dans la mesure où je remarque à peu près une chose par minute ? J’ai croqué un peu plus de la pomme, sans pépin. Mon plus gros choc : le Moma, petit nom affectueux que les New Yorkais donnent au Museum of Modern Art. Parmi les œuvres qui m’ont envoûtée, le drapeau américain de Jasper Johns, les Warhol et les Rothko, que j’avais déjà vus (mais on ne s’en lasse pas), Roy Lichtenstein, Giacometti, Léger, Matisse, Louise Bourgeois, Joseph Beuys et les superbes galeries de photos (Nadar, Robert Frank, Diane Arbus, Avedon…). Bref, j’ai piétiné des heures dans cet endroit immense et fabuleux.

Autres moments forts, le Dakota, devant lequel Lennon fut assassiné, le théâtre Apollo, à Harlem, temple du jazz noir américain (enfin, c’est d’abord le nom de mon chat !), le luxe de la 5e avenue et sa boutique la plus branchée, Abercrombie & Fitch, où je me suis acheté une belle chemise rayée façon Shane, tout à fait abordable, qui ira bien avec mon Levi's Eco (moitié moins cher qu'en France…). A l’entrée, il y a un playboy qui pavane torse nu, et à l’intérieur, qui tient plus de la boîte de nuit que du magasin, des canons (filles ou garçons) qui vous accueillent à chaque étage en souriant et en gigotant.
J'ai fini dans un bar français qui sert parfois du X Noir… mais ça, je vous le raconterai demain.


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