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La mauvaise vie (pédophile ?)de Frederic Mitterand et la mauvaise foi de Marine le Pen

Publié le 07 octobre 2009 par Xaviercaron

Fréderic Mitterand aime les prostitués. C’est son droit le plus strict et, quand bien même il serait président de la république, cela le resterait. (Il est même, à mon avis, tout à son honneur de ne pas le cacher) Les homosexuels aiment généralement les jeunes hommes, les hétéros aiment généralement les jeunes femmes. C’est un fait : lorsqu’il s’agit de sexe, la jeunesse attire.

Je n’ai pas lu le livre de Frederic Mitterrand « la mauvaise vie », mais j’ai rencontré à Cuba des jeunes garçons qui avaient couché avec lui pour de l’argent, et même un qui correspondait encore avec lui par mail il n’y a pas si longtemps ( 3 ou 4 ans). Quel age avaient ces garçons ? Autour de 18/20 ans, paraissant souvent moins, il est vrai. Cela fait-il du ministre de la culture un pédophile, pas forcément. Un pédophile ressent de l’attirance pour les enfants. Des jeunes de 18 ans ne sont pas des enfants : l’adolescence commence à 14 ans. Peux être notre ministre a-t-il des tendances pédophiles, il ne serait pas le seul, malheureusement. De la à l’accuser d’actes pédophiles , il y a un pas énorme, que Marine le Pen à franchi allègrement et sans preuves autres que les aveux de FM dans son livre. Or il ne dit pas, du moins pas dans les extraits que j’ai à ma disposition des enfants, mais des garçons (et même de jeunes garçons) ; Qui a traîné un peu dans les milieux homosexuels sait que les  gays appellent les jeunes des garçons. Et qu’un jeune de 18/20 ans est un jeune garçon. Tout comme les hétéros parlent de filles, et même de filles de joie pour parler de jeunes femmes qui ont allégrement dépassé 18 ans…Frederic Mitterand utilise aussi l’expression « gosse » qui dans la bouche d’un homme de son âge et de sa génération peut aussi bien désigner un enfant de 10 ans qu’un jeune de 20 ans. ( Mon grand pére, à peu prés au même age appelait des gosses tous ceux qui avaient moins de 20 ans, indistinctement.

Marine le Pen a-t-elle lu « la mauvaise vie » ? J’en doute. L’extrait qu’elle a lu lors de l’émission de télé « mots croisés » est en effet celui que l’on trouve sur Internet, avec les mêmes coupes, du début à la fin. Voir l’extrait * . Pour les personnes non habituées à la syntaxe éditoriale [...] signifie des coupes dans le texte original. Marine le Pen, si elle avait lu le livre, aurait-elle choisi cet extrait, aurait-elle effectué les mêmes coupes, au mot prés ? permettez moi d’en douter. Il ne s’agit de sa part que de surfer sur une vague, une tendance. L’époque est propice et le terrain fertile…Je ne saurais que lui rappeler les paroles de son père adoré : “les péchés de l’amour ne sont pas graves” ( in  Le divan – de Henri Chapier 09/12/1989

Ferme censeur de la pédophilie ( J’ai un fils de six ans et frémis rien quà l’idée), je pense toutefois qu’il ne faut pas accuser sans preuve. Que l’on me montre les preuves et je signerais sans hésiter la pétiton pour sa démission ( enfin, non, quand même pas… mettre mon nom sur un papier même virtuel issu du FN, faut pas déconner …, mais je créerais une nouvelle pétition que je mettrais en ligne ici même, promis, craché, juré.

Xavier Caron

« J’ai pris le pli de payer pour des garçons [...] Évidemment, j’ai lu ce qu’on a pu écrire sur le commerce des garçons d’ici .[...] Je sais ce qu’il y a de vrai. La misère ambiante, le maquereautage généralisé, les montagnes de dollars que ça rapporte quand les gosses n’en retirent que des miettes, la drogue qui fait des ravages, les maladies, les détails sordides de tout ce trafic. Mais cela ne m’empêche pas d’y retourner. Tous ces rituels de foire aux éphèbes, de marché aux esclaves m’excitent énormément […] On ne pourrait juger qu’un tel spectacle abominable d’un point de vue moral, mais il me plaît au-delà du raisonnable […] La profusion de jeunes garçons très attrayants et immédiatement disponibles me met dans un état de désir que je n’ai plus besoin de réfréner ou d’occulter. L’argent et le sexe, je suis au cœur de mon système, celui qui fonctionne enfin car je sais qu’on ne me refusera pas. Extrait figurant sur http://aliciabx.blogspot.com/2009/10/frederic-mitterrand-et-la-mauvaise-vie.html


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