Le tribunal correctionnel de Colmar avait relaxé toutes les personnes physique impliquées dans la chute de l’A320, le 20 janvier 1992 sur les pentes du Mont Sainte Odile, à l’approche de l’aérodrome de Strasbourg, faisant 87 morts, alors que 9 personnes avaient survécues à l’accident.
Les parties civiles, le constructeur de l’avion et le ministère public ont fait appel du jugement rendu en première instance.
Le procès en appel, qui devrait durer 7 semaines, permettra d’analyser l’instruction, émaillée d’une multitude d’expertises et de contre-expertises qui n’a pas duré moins de 14 ans.