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Sinbad

Publié le 20 octobre 2009 par Olivier Walmacq

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genre: heroïc fantasy honteux
Année: 1987
durée: 1h30

l'histoire: Pour gagner la main de la fille du calife, le prince Ali doit trouver les 5 perles magiques. Il fait alors appel à Sinbad et son équipage. Mais le maléfique Ja'afar déploie tous ses efforts pour ruiner leur mission.

la critique de Eelsoliver:

Oulala ! Que ce film pique les yeux et fout mal au crâne ! Sinbad, réalisé en 1987 par un Enzo G. Castellari visiblement en panne (à tous les niveaux), ne contient que des défauts.
Premier mauvais point, le choix de l'acteur pour incarner le célèbre aventurier. On le sait tous, Sinbad est un personnage plutôt connu pour sa ruse.
Ce n'est pas forcément un héros impressionnant physiquement... Alors pourquoi avoir choisi ce nullard de Lou Ferrigno ?

Le nom de cet interprète ne vous dit peut-être rien, mais vous le connaissez forcément puisque cet acteur est surtout célèbre pour avoir incarné Hulk dans la série télévisée.
C'est d'ailleurs tout ce qu'il y a à retenir de lui. La première demie heure du film est tout simplement lamentable (comme le reste du long-métrage par ailleurs).
En effet, dans un premier temps, une belle princesse est retenue prisonnière par un affreux magicien, le terrible (tu parles !) Ja'afar.

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Cette dernière est amoureuse du prince Ali. Celui-ci part alors la délivrer mais se fait prendre comme un couillon par les gardes.
Il est alors rejoint par Sinbad et sa bande de bras cassés. Pour sauver la princesse d'un triste sort, l'équipage doit alors retrouver 5 perles magiques dispersées à travers le monde.

Là, le film atteint des sommets de bêtise et de nanardise. On verra alors Sinbad affonter des hommes-pierres, qui ressemblent davantage à des crottes géantes.
Manque plus que l'odeur... Ensuite, Sinbad et ses compagnons se retrouvent sur l'île des Amazones où des superbes femmes en chaleur les attendent.
Les amis de l'aventurier au sourire lobotomisé sont faits prisonniers. Malheureusement, Sinbad succombe au charme de la reine des Amazones.

En résulte un film épique complètement aberrant, fauché, nullissime, vulgaire et plombé par l'interprétation des acteurs. Mention Spéciale à John Steiner, dans le rôle du méchant magicien, Ja'afar, qui surjoue au possible, et en fait des tonnes en matière de grimaces et de mimiques débiles !
Un vrai nanar dont il n'y a strictement rien à sauver ! Une vraie chiasse !

Note:

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