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Desperate Housewives - Episode 5.15

Publié le 23 octobre 2009 par Speedu

Une journée de travail / Ah ! Si j’étais riche !
In a world where kings are employers
Saison 5, Episode 15 sur 24
Diffusion vo : ABC – 15 février 2009
Diffusions vf : C+, M6 – 20 octobre 2009
Les Scavo tentent de sauver leur pizzeria, Orson est jaloux de Andrew, Susan de Katherine et les Solis couvrent le patron infidèle de Carlos.
Susan :
Mike travaille toute la journée. Susan doit travailler elle aussi et du coup, quand MJ est malade, c’est Katherine qui en a la garde, chose que Susan ne peut accepter. Ce qu’on peut comprendre. Mike a voulu la garde et il refile le rejeton à sa copine dont je me demande comment elle fait pour vivre sachant que les Etats Unis ne filent pas d’aide sociale type RMI. Mais d’un autre coté, Susan est conne. Elle préfèrerait que Mike amène MJ avec lui pour qu’il lui explique la plomberie chez les dames. A son âge ? légalement, il ne peut voir le travail de son père s’occupant de la plomberie des dames qu’à 18 ans … Ou alors, il le laisse seul à la maison. Autre solution. Après tout, Susan le fait bien pendant qu’elle va se laver. Hop, la télé, nounou numéro 1 du monde moderne.
Il y a un fond de vérité intéressant derrière cette intrigue mais je n’arrive pas à la supporter pour la simple raison que si Mike ne s’occupait pas de la plomberie de Katherine, elle foncerait chez elle pour qu’elle garde MJ. En plus, il n’avait pas du tout l’air malade le MJ, à part le matin (nausées matinales à son âge et en étant un garçon ???). Sinon, le vendredi suivant, il n’était pas censé aller à l’école ? Surtout au prix qu’elle coute. Malade ou pas, je le trainerais là-bas moi.
Les Solis :
Gabi ne peut se payer un bracelet. Et elle voit Brad avec une blonde. Zou, elle négocie alors la prime de Carlos alors que la crise fait que personne n’en touche normalement. Voilà les Solis à devoir cacher un couple infidèle.
L’idée est bonne et il aurait été intéressant de jouer avec le parallèle d’infidélité de Gabi. Mais non. Apparament, le beau jardinier ne s’occupe plus du gazon de Gabi, même en souvenir. Là, l’intrigue est super bateau et en plus, depuis quand les grandes pontes se refusent des primes, crise ou pas crise ?
Les Hodge :
Andrew baigne dans le luxe, se payant des grands crus et des Bics 4 couleurs en argent. Ouais, il est pété de thunes grâce à maman. Du coup, Orson est jaloux vu qu’il ne gagne que la moitié du fils prodigue, c’est à dire une très grosse somme vu les dépenses de l’ancienne prostituée de Fairview.
Je dois dire que je ne comprends pas la jalousie de Orson. Bree est pétée de thunes, lui doit bien gagner sa vie, et en plus, ils vivent ensemble. Si ça se trouve, il peut mettre tout son salaire sur un compte épargne. En plus, il n’a pas l’intention de quitter la rousse. Donc qu’est ce que ça peut faire si il palpe moins de billets que Andrew qui bosse pour de vrai lui ?
Je ne parlerais pas du stylo volé pour l’instant.
Les Scavo.
Là aussi, c’est la crise. Tom essaye de sauver comme il peut son entreprise mais n’y arrive pas et se résoud à vendre après avoir gueulé sur un des jumeaux qui refuse de se faire humilier en servant un connard de son lycée qui l’avait appelé Jesus lorsqu’il avait été au lycée en sandales. Hum.
J’ai bien aimé que Tom se rebelle enfin contre un de ses abrutis de fils. Si il avait agi plus sévèrement dès la saison 1, cela nous aurait épargné bon nombres d’intrigues vaseuses à base des jumeaux. Certes, il réagit trop violamment mais il a 16 ans de réprimandes à rattraper le Tom quand même.
J’apprécie moins que soudainement, cela soit le déclic pour que Tom vende. Maintenant, la pauvre Penny va devoir faire stripteaseuse pour vivre vu qu’elle est virée de son job. A 15 ans, c’est dur. Surtout qu’elle n’en a que 9 en vrai.
Je finis avec le passage ridicule d’introduction avec toutes les voitures qui rentrent en même temps du boulot à Wisteria Lane. Comme si c’était un quartier d’ouvriers. Et oui, ils font tous la même tournée à l’usine du coin. Bien sûr …
Bref, 5/10
Mouais mouais mouais. Ca ne s’améliore pas. J’ai même le sentiment que la saison s’embourbe dans le minimum syndical. C’est la crise de l’inventivité chez les scénaristes.


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