Magazine Journal intime

Les risques quand on est malade incurable ou handicapé.

Par Handiady
Survivre à une maladie grave, mais à quel prix?
Article lu sur les affaires.com, sorte du "pub" à peine voilée, mais il pose des faits intéressants, je cite: "Survivre à une maladie, oui… mais à quel prix? * Richard Martel * 5 décembre 2008 Grâce aux progrès de la médecine, de plus en plus de gens survivent à une maladie grave telle qu'une crise cardiaque, un cancer ou un accident cérébrovasculaire. Cela peut toutefois coûter cher, mais il y a des possibilités pour limiter les dégâts. • Si une personne sur quatre est atteinte d'une maladie du cœur, 95 % D'ENTRE ELLES SURVIVENT à une première crise cardiaque . • Si une personne sur trois souffre d'un cancer, 65 % Y SURVIVENT plus de cinq ans . Et si c'était vous? Pour guérir, vous voudrez vous offrir les meilleurs traitements sans attendre. Le pourrez-vous sans compromettre votre qualité de vie, vos économies ou vos projets de retraite? Une maladie grave entraîne des dépenses importantes et pourrait avoir des conséquences dramatiques sur votre sécurité financière et celle de votre famille. Plusieurs frais ne sont pas couverts par la RAMQ, par exemple : ▪ Perte de revenu du conjoint qui demeure aux côtés de la personne malade ▪ Soins spécialisés (ici ou à l'étranger) ▪ Déplacement et hébergement pour obtenir des soins L'assurance en cas de maladies graves : unique sur le marché! Parmi les nombreuses protections d'assurance qui visent à atténuer les conséquences des problèmes de santé, celle qui concerne les maladies graves mérite une attention particulière. En effet, il est fort heureux de constater que de plus en plus de gens survivent à une maladie grave. Toutefois, dans de telles circonstances, l'assurance invalidité peut ne pas répondre entièrement à leurs besoins ni à leurs attentes. Dans le cas d'une crise cardiaque, par exemple, il arrive couramment que le détenteur d'une assurance invalidité soit tenu de reprendre le travail après quelques mois, et ce, peu importe son assurance ou son assureur. De même, un diagnostic de cancer n'entraîne pas toujours l'arrêt immédiat du travail. Or, il n'est pas rare qu'un événement de ce genre pousse un assuré à remettre en question son mode de vie. Face à une maladie grave, il est fort probable qu'il souhaite cesser de travailler ou alléger considérablement son horaire. De plus, pendant sa convalescence ou ses traitements, l'obtention de certains services complémentaires peut contribuer à son rétablissement ainsi qu'à son mieux-être physique et psychologique. De nos jours, l'assurance maladies graves doit plus que jamais faire partie d'une bonne planification financière. En cas de diagnostic d'une maladie couverte, vous recevrez le montant pour lequel vous êtes assuré, et ce, à l'abri de l'impôt! ▪ Vous utiliserez ce montant COMME BON VOUS SEMBLE. ▪ Ce type de protection peut couvrir plus d'une vingtaine de maladies et chirurgies parmi les plus courantes : cancer, crise cardiaque, accident cérébrovasculaire, sclérose en plaques, maladie d'Alzheimer, etc."

Je dois avouer que j'adhère plus ou moins au principe. IL n'est plus possible actuellement de s'en sortir sans mutuelle sérieuse si l'on es handicapé et/ou malade chronique comme les SEPiens! La perte de salaire quand on ne peut plus travailler, les crédits que le conjoint ne réussira plus à éponger seul etc...
La politique actuelle nous a poussés à cette urgence, la sécu ne suffit pas à rembourser fauteuil, lit etc...


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