Programme personnel de développement personnel : 1ère pause

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Cette semaine, mon programme personnel de développement personnel (PPDP) a connu son premier interlude. Comme j’attache une grande importance à ce projet et que je me suis de plus engagé à vous en rendre compte chaque samedi, je me dois de justifier ce manquement.

Ma première excuse est un investissement important dans mon travail cette semaine. En raison de maladies diverses et congés pris de longue date, les effectifs de l’équipe ont chuté jusqu’à -75% jeudi matin. Dans ces conditions, je n’ai eu d’autre choix que de retrousser mes manches et de prolonger mes journées jusqu’à une heure avancée. Pas le choix dis-je ? Si bien sûr que j’avais le choix. Mais j’aime mon boulot et je reste loyal envers mes collègues en ne démolissant pas une qualité de service durement établie au prétexte qu’ils sont absents.

Deuxième argument pour me dédouaner : une présentation très attendue. Maintenant que je suis un expert dans mon métier, je transmets mon savoir-faire à mes collègues. J’ai ainsi animé mercredi soir une conférence sur la gestion des crises IT dont vous pouvez trouver une version allégée du support dans une note précédente. D’accord, c’est encore du travail. Et alors ? Il y en a qui paient pour avoir le droit de monter sur scène.

Enfin, j’héberge un ami depuis vendredi dernier. La cohabitation dans un studio suppose des concessions et j’ai choisi de passer le peu de temps libre qu’il me restait en sa compagnie plutôt qu’à méditer sur le PPDP. Après tout, ce programme aurait-il le moindre sens si pour le suivre je me coupais de toute relation sociale ?

En conclusion, je n’ai pas de compte-rendu à vous présenter cette semaine. J’annonce toutefois un sujet de réflexion pour la semaine à venir (issu d’un débat avec l’ami en question) : doit-on vraiment compartimenter sa vie ? Mon point de vue sur la question samedi prochain.

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