A deux reprises déjà ( Le monde change, avant, les pédophiles avaient le droit de parler à la télévision et Chaque jour qui passe on perd en liberté), j'ai attiré votre attention sur les consensus du plus petit dénominateur commun, sur l'obligation du politiquement correct qu'on veut nous contraindre à avoir. Alors, je crois que je vais me risquer à balancer un ensemble de phrases.
J'en ai rien à foutre du réchauffement de la planète, des conflits qui ont lieu dans les autres pays, de savoir qu'il y a des gens qui du fait de leur naissance ont plus de chance que d'autres, de me battre contre les inégalités (versus iniquités...), de savoir si Pierre Paul ou Jacques est homo, hétéro ou bi. Idem pour Pierrette, Paulette ou Jacqueline (quoique...). De même, j'en ai rien à foutre des religions, d'être étiqueté par des sots parce que je fais une blague sur les blancs, les juifs, les arabes, les jaunes, les blacks, les homo, les blondes ou d'autres, voire parce que je montre des femmes à poil et que j'aime ça. J'en ai rien à foutre de faire des vagues si je suis moi dans ce que je dis, ce que je fais.
Il faut s’attacher à une position
« voltairienne » sur le mode : « Même si je ne suis pas d’accord avec
vos idées, je me battrai pour que vous puissiez les exprimer » ?... (Une idée qui tue, non ?).
J'ai initié une liberté de parole, je vous y attends.
Jeu de briques
Snake
Pacman
Bubble