Magazine Cinéma

Galaxina

Publié le 02 novembre 2009 par Olivier Walmacq

galaxi_

genre: space opera
année: 1980
durée: 1h35

l'histoire: L'an 3008. Galaxina, humanoïde femelle, pilote l'Infinity, un vaisseau de la police intergalactique. L'Infinity reçoit l'ordre de traquer le pirate Ordrick qui veut s'emparer de l'étoile bleue de Quartz, un minerai contenant le pouvoir des étoiles.

la critique de Eelsoliver:

Voilà une curiosité du genre science fiction, inspiré évidemment par le space opera. Il est évident que Galaxina, réalisé par William Sachs, est une parodie volontairement honteuse et nanarde de Star Wars et de Star Trek. Mais attention, ce n'est pas Turkish Star Wars non plus !
Et en sens, tant mieux... Certains gags sont d'un goût douteux, mais reconnaissons que la bonne humeur est au rendez-vous, pour le meilleur et parfois pour le pire.

Ainsi, la première partie de Galaxina nous présente ses personnages atypiques, et en particulier l'équipage d'un vaisseau intergalactique, l'Infinity.
Nous faisons alors la connaissance de Galaxina, une femme blonde humanoïde aux formes attirantes et voluptueuses, qui affole la bistouquette des membres de l'expédition.
Parmi eux, nous avons un black vampire avec de petites ailes dans le dos, Croc-Croc, un monstre qui se nourrit de roches et un vieil asiatique, avec évidemment une longue barbe blanche.
Enfin, il y a le beau brun ténébreux qui est fou amoureux de la splendide Galaxina.

galaxina

Voilà pour les présentations. L'équipage est alors investi d'une mission: ils doivent retrouver l'Etoile bleue, un minerai convoité par le pirate Ordrick.
L'histoire est assez simpliste et n'est qu'un prétexte pour donner lieu à quelques scènes assez fendardes, sorte de copier-collées de certaines séquences de la guerre des Etoiles.
Notamment lorsque Galaxina se rend dans un bar pourri avec des créatures encore plus pourries, et qu'elle rencontre le patron, une sorte de Monsieur Spoke, mais avec des oreilles qui pointent vers le bas.

Et oui, tel est le niveau de Galaxina qui assume totalement sa nanardise. Ce n'est pas une grande parodie. Loin de là. Le film de William Sachs est parfois lourdingue.
Vive les gags à base de pets et de rots ! Mais tout n'est pas si mauvais, à condition de regarder ce film au trente-sixième degré (si ce n'est pas trente-septième).

Note: 09/20
Note nanardesque: 16/20


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