Magazine High tech

#nofacebookweek. Vous allez en entendre parler !

Publié le 08 novembre 2009 par Romain18241

#nofacebookweek. Vous allez en entendre parler !

Semaine du 2 au 8 Novembre 2009, Diawan et moi tentons une chose difficile, à savoir tenir une semaine entière sans se connecter à Facebook. Tout à commencé lorsque Diawan, après avoir mûrement réfléchi sur le sens de la vie, décide de se lancer dans ce que nous appellerons tous bientôt une “nofacebookweek”. Trouvant le concept assez énorme, et voulant absolument savoir si j’en étais capable, j’ai décidé de le suivre dans cette période sans notifications facebookiennes.

Aujourd’hui Dimanche, dernier jour de notre épopée.

Facebook, c’est le premier onglet de ma page internet. C’est ce qui est tout le temps ouvert, même lorsque je ne suis pas devant l’écran. C’est le premier truc que je rafraichi en arrivant chez moi le soir, même si je m’y suis déjà connecté depuis le travail.  Ce voyeurisme communautaire m’attire beaucoup, sans pour autant en être accroc. Et cette expérience m’a permis de le confirmer.

Des amis déçus

Le premier jour, plusieurs de nos amis commun pourrissaient nos murs, nous identifiaient dans des publications que nous ne pouvions découvrir par mail, et venaient nous voir sur twitter pour nous convaincre de nous connecter (en particulier Jean-Michel JFKFilm_K (doigt) ). Ces tentatives ont duré… 1 jour et demi. Après cela, voyant notre non-réaction, nous n’avions plus aucune nouvelle. Et rien que pour cela je vais citer cette phrase de Kévin “ouais mais sans vous ca va être mort Facebook”. Preuve que nous ne sommes pas les seuls drogués, car les utilisateurs habituels de facebook n’aiment pas lorsque des changements arrivent, par exemple ici la non-présence de deux habitués.

Pas de “manque”

Facebook c’est bien, mais ce n’est pas indispensable. C’est un plus. Virtuellement, être accroc à une bande d’amis, je ne pense pas que ce soit possible. Cette semaine m’a permis de démontrer que même si j’aime y passer du temps (trop de temps), facebook n’a son intêret que si j’en fais partie. Ayant décidé de m’isoler, j’ai donc décidé de me tourner vers là où j’étais actif, par exemple twitter. Le challenge de ne pas se connecter agit comme une interdiction, un pari que l’on veut tenir jusqu’à son échéance. Si j’étais vraiment accroc, j’attendrai devant mon ordi ce soir à minuit la levée de l’interdiction, pour me connecter et injecter en moi la dose de communautaire. Chose que je ne ferais pas car je vais dormir.

Twitter, la solution?

Twitter, sans Facebook, c’est un peu ce que le patch de nicotine est au web 2.0 (ouaah c’est bon ça !). En gros, s’il me faut ma dose de communautarisme, j’ai Twitter. Un site moins addictif mais plus interessant en terme de découverte et partage de l’information.

#nofacebookweek, un mot clé d’avenir?

Je valide. Une excellente expérience que cette semaine hors de Facebook. Il n’y a que comme ça que j’ai pu comprendre pourquoi je me connectais tous les jours sur ce site, et pourquoi ce que j’y fesais ne pouvait s’y fait que là. Savoir que mes clics sur la plate forme de Zuckerberg n’ont rien d’indispensables et d’addictifs, j’ai bien pigé que facebook n’est qu’un loisir, un plus qu’internet nous offre. Sans sentiment de manque, je saurai faire la part des choses et me dire que ce qui me bouffe du temps de vie est quelque chose que j’aime, mais qu’il faut que je régisse (”Régis, une pizza 4 fromages !”).

Ne connaissant pas le ressenti de Diawan sur le sujet, nous avons tout de même un même but : faire de la NoFacebookWeek un événement. quelque chose voulu par le plus de gens possible. Et puis quelque part, Permettre à des milliers d’utilisateurs Facebook de ne pas se connecter pendant une semaine, c’est aussi ça l’esprit communautaire !


Retour à La Une de Logo Paperblog

A propos de l’auteur


Romain18241 48 partages Voir son profil
Voir son blog

l'auteur n'a pas encore renseigné son compte l'auteur n'a pas encore renseigné son compte

Magazines