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H1N1: On nous prend vraiment pour des cons

Publié le 11 novembre 2009 par Suzanneb

Je vous suggère d’écouter cette entrevue réalisée le 29 octobre 2009 à l’émission d’Isabelle Maréchal au FM 98,5 avec le Dr. Richard Marchand, microbiologiste, infectiologue de l’Université de Montréal, qui travaille aussi à l’Institut de cardiologie de Montréal.

Isabelle lui demande d’expliquer comment le virus peut être aussi foudroyant, faisant référence au jeune Evan décédé en Ontario précédemment.

Ici, il est important de comprendre le phénomène que nous explique le docteur Marchand: en présence d’un virus grippal, le système immunitaire attaque la composante H du virus H1N1, (H pour hémaglutinine). On retrouve un équivalent de cette composante dans le poumon:  Au début de la maladie, le système immunitaire a de la difficulté à faire la différence entre les composantes du virus et les composantes du poumon.

C’est ce qui peut arriver chez un jeune qui développe des anticorps de façon massive, il commence à faire de l’eau sur les poumons, le coeur décompense parce qu’il est incapable de passer du sang à travers… ceci peut se produire dans environ 2% des cas de grippe (n’importe quelle grippe).

La question que je pose est la suivante:

Est-ce que le système immunitaire ne fait pas exactement la même chose sous l’effet du vaccin ? surtout s’il est boosté avec un adjuvant ? Nous savons que la réponse immunitaire est bonne puisqu’une seule dose suffit alors qu’on croyait en avoir besoin de deux au début.

Ne risque-t-on pas d’obtenir le même pourcentage (sinon plus) de cas foudroyants parmi ces personnes à risque, que l’on vaccine pourtant EN PRIORITÉ ? 

Je dis «sinon plus» en supposant que ces personnes souffrant de maladies chroniques pourraient (devraient?) produire massivement des anticorps (c’est le but du vaccin non?) et que ces anticorps, au début, pourraient (devraient?) avoir de la difficulté à faire la différence entre les hémaglutinines du vaccin et celles du poumon… avec les conséquences foudroyantes qu’on connaît maintenant.

D’ailleurs on constate que nombre de victimes (vaccinées ou pas) présentaient des pathologies pré-existantes, souvent associées aux voies respiratoirescoïncidence ?

Il est humainement impossible à quiconque de déclarer que le décès d’une personne vaccinée est dû à la Grippe plutôt qu’au vaccin.

Ne pas reconnaître cette possibilité permet aux autorités de déclarer, suite au décès d’une personne vaccinée, qu’elle avait attrapé la grippe AVANT de se faire vacciner.
Jamais on ne suspectera le vaccin (et son adjuvant) qui déclenche pourtant lui aussi, une réponse immunitaire massive.

N’aurait-il pas été raisonnable d’observer la plus grande prudence avant de décréter que les personnes à risques (déjà malades) doivent être vaccinées en priorité ?

À moins qu’on ne calcule froidement que la perte de personnes «déjà malades» est moins grave que celle des bien portant… ? mais alors pourquoi vacciner les jeunes enfants ? les femmes enceintes ? il n’y a vraiment rien à comprendre dans l’orchestration de cette hystérie générale, sinon qu’elle sera profitable pour l’industrie (immunisée contre les poursuites) et pour les politiciens qui s’emplissent probablement les poches de «dessous de table», laissés par la faune lobbyiste pharmaceutique.

Retour à l’entrevue avec le Dr. Marchand.

Réseau surchargé

Environ 1500 personnes meurent chaque année à cause de la grippe saisonnière. En tant que tel, le nouveau virus n’est pas plus mortel que les autres, mais étant donné qu’il se propage quatre fois plus vite que les autres, ça aura pour conséquence de surcharger le réseau de la santé.

«Le problème ici est que lorsqu’on a une certaine quantité de malades, cela dépasse la capacité du réseau de la santé de pouvoir s’en charger», souligne le docteur Marchand.

Il ajoute cependant que 98% des gens atteints vont faire une grippe relativement bénigne. On apprend aussi qu’il n’y a pas que le virus de la grippe A qui circule, d’autres virus, des rhumes, et tout ça vient compliquer les choses quand on essaye de donner des chiffres, des statistiques qui en général seront établies à postériori.

Pénurie de vaccins: Des retards dans la production industrielle.

H1N1: On nous prend vraiment pour des cons 

Le Dr. Marchand m’a fait un peu sursauter en affirmant à partir du minutage 14:00 sur le document audio ceci:

La production du vaccin a été retardée parce que le virus est constitué d’une composante aviaire et les oeufs embryonnaires qu’on a utilisés, mouraient ou produisaient moins parce que la composante aviaire était toxique pour les oeufs de poulet, ce qui fait que ça a ralenti la production, et tout le monde l’a découvert un peu par surprise, on n’est pas les seuls au Canada, les quatre manufacturiers sur la terre ont fait la même découverte en même temps.

Mon commentaire:

Or donc, tous les manufacturiers ont été surpris de constater que les embryons de poulet meurent sous l’influence toxique du composant aviaire de ce virus… et logiquement… du vaccin qu’on produit avec.

Nous en sommes réduits à faire des voeux: Souhaiter que ce vaccin ne soit pas, à long terme, toxique pour les humains. Faire des voeux ! pourquoi pas consulter une boule de cristal tant qu’à y être ?

Il aurait été plus prudent (et plus productif, raisonnable…) de laisser tomber cette campagne de vaccination massive et de préparer le réseau à recevoir et à soigner plus de gens malades de la grippe.

  • lorsque je cherche sans succès, des réponses officielles ni biaisées ni mensongères, à des questions inquiétantes sur ce vaccin ou sur la nécessité de cette campagne de vaccination,
  • lorsque j’apprends que les chiens et les chats ont droit à des journalistes d’enquête et pas nous,
  • lorsque je constate que les autorités n’admettent ni ne prennent en compte, que ce virus grippal ne serait pas une pandémie sans les récents changements apportés par l’OMS à la définition d’une pandémie,
  • lorsque je vois ces longues files d’attente sous la pluie et au grand vent,
  • lorsque je vois diverses petites vedettes se donner en spectacle en se faisant vacciner bien au chaud… pour donner l’exemple,
  • lorsque je constate avec quelle soumission le peuple obéi à cette campagne de peur, orchestrée par des incapables et des irresponsables… j’ai le goût de vomir. On nous prend vraiment pour des cons.

Selon le  Dr. Marchand, il était déjà trop tard (le 29 octobre dernier) pour vacciner. La deuxième vague était déjà sur nous. C’est quoi alors cette panique ?

FM 98,5 Isabelle Maréchal rencontre le Dr. Richard Marchand, microbiologiste, infectiologue. 29 octobre 2009

Une grippe bénigne

Conference de Presse Hopital Ste-Justine H1N1 Bénin – 29 octobre 2009


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