Selon elles « Les titulaires sur zones de remplacement (TZR) sont de moins en moins utilisés comme remplaçants mais comblent souvent des postes vacants à l'année. Conséquence : ce sont plus 2.500 enseignants non-titulaires qui font office de remplaçants ».
Elles demandent donc à ce que les remplaçants soient mieux formés et surtout titulaires. De son côté, le rectorat de Créteil estime que les remplacements se sont améliorés depuis la rentrée dernière.
Le directeur du cabinet du rectorat, Laurent Petrynka a déclaré à l'AFP : « Nous accordons une importance cruciale à la qualité de nos enseignants contractuels, qui sont systématiquement recrutés au niveau bac +3 dans la discipline qu'ils doivent enseigner » assurant que le taux de remplacement était passé à 96 % soit trois points de plus que l'année dernière.
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