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Lapôcompris la fin de l'Internat !

Publié le 11 décembre 2009 par Poclatelephage
Je lance aujourd’hui un appel à témoins : tu es téléphage, sériphile ou un être simplement normal et tu as saisi le dénouement de l’Internat alors contacte Poc au 06.1….., j’ai failli en laisser mon numéro de téléphone, écris lui à [email protected] ou laisse lui vite un commentaire ici…

Lapôcompris la fin de l'Internat !
Comme vous pouvez le constater, je viens de finir de visionner l’Internat sur M6replay, ce qui est déjà une épreuve en soi. Le site réalise de magnifiques arrêts sur image impromptus puis choisit ou pas de redémarrer et souvent c’est « ou pas ». Pourtant, au préalable, je m’étais bien mangée les deux spots de publicité réglementaires, qui ont tourné finalement aux 125 pages de publicité, redémarrage du site oblige.
Je vous resitue ou pas l’Internat ?
Pour faire simple, un mystérieux internat héberge de curieux secrets. Des enfants ont disparu en 1973. Le directeur réalise des expériences sur les petites filles, rien de trop pervers, quoique… Un homme des bois, un genre de Hagrid défiguré, vit dans la forêt qui jouxte le pensionnat. Le cuisinier fouille dans le passé de tout le monde. Le directeur de l’école semble aussi louche que sa compagne enceinte qui l’a trompé avec le prof de sport. Quant au prof d’histoire, il ourdit de sombres complots et tente d’empoisonner les élèves qui se détournent de lui.
L’ensemble est plus ou moins bien interprété. La palme du pire jeu revenant au vrai faux rebelle qui a aussi joué dans « c comme ç@ », la série que seule France 4 ose rediffuser.

Au final, la fiction abuse du fameux gag popularisé par « Star Wars », « je suis ta mère (ancienne junkie, récemment échappée de l’asile psychiatrique qui joue désormais les femmes de ménage au pensionnat)» ou « je suis ton frère (caché depuis sa naissance car difforme puisque mon père a fait des expériences grâce aux enfants d’un orphelinat sur ma mère et que je suis né pas beau du tout) ». Mais elle va également chercher ses références du côté de la tragédie grecque, « je tue ma mère biologique, à qui je me suis confié sans savoir qu’elle m’avait engendré, en pensant exécuter le salaud qui a tué mon meilleur ami ».
Bref, c’est mauvais mais prenant. Mais moi qui aie tout saisi au « Z » et au « M du Z », je n’ai rien compris au dénouement. Pourtant, il n’était guère aisé de comprendre qu’Esther Delaître était le M du Z mais qu’elle n’était pour autant pas Claire Keim.
Je suppose que nous aurons toutes les réponses à nos questions dans une potentiel deuxième saison. Je me trompe ?


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