Test du jeu The Legend of Zelda : Spirit Tracks sur Nintendo DS

Chaque nouveau Zelda est un pur évènement. Près de 2 ans après Phantom Hourglass, une des franchises vedettes de Nintendo est de retour, avec Spirit Tracks. C'est parti pour le test de The Legend of Zelda : Spirit Tracks de Nintendo, sur DS.

A peine la cartouche insérée, que l'on a déjà droit à une petit mélodie typique des Zelda. Comme l'intro le montre, ce nouveau Zelda sera centré sur les trains, éléments importants de l'aventure. Contrairement à Phantom Hourglass, qui reprenait le mode de déplacement de Wind Waker (les bateaux), The Legend of Zelda : Spirit Tracks innove. Un premier bon point.

Techniquement, disons-le de suite, The Legend of Zelda : Spirit Tracks est dans la droite lignée de son prédecesseur. Le bon technologique n'est pas flagrant, mais Phantom Hourglass était déjà ce qu'on pouvait faire de mieux sur la DS. La 3D est propre et colorée.

Côté prise en main, les déplacements en train apporte un vent de fraicheur sur la série. Se lancer à toute vitesse sur les plaines donne une nouvelle dimension à l'aventure et permet à la saga de se relancer. The Legend of Zelda : Spirit Tracks reprend le meilleur des précédents, pour le sublimer. Ainsi, la maniabilité est identique à Phantom Hourglass. Ceux qui y ont déjà joué trouvera leurs marques en 1 secondes, et les autres, Nintendo oblige, ne tarderont pas trop.

En ce qui concerne la durée de vie, The Legend of Zelda : Spirit Tracks vous en donnera pour votre argent. L'aventure est longue et passionnante. Savoir ce qu'il arrive à la tour des dieux, et aux rails des trains, vous poussera à aller toujours plus loin dans l'histoire. The Legend of Zelda : Spirit Tracks vous scotchera des heures devant votre DS, à n'en pas douter. A noter enfin, que The Legend of Zelda : Spirit Tracks comporte aussi un multijoueur, où l'on peut se battre avec 3 autres adversaires.

Une fois de plus, Nintendo nous offre un classique sur un plateau. The Legend of Zelda : Spirit Tracks est une merveille du début à la fin.

Encore un classique ! 18/20