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Un 2ème cas de psychiatrie lourde au PS

Publié le 10 décembre 2009 par Jc75

Un 2ème cas de psychiatrie lourde au PSC’est un habitué, il a déjà affirmé, que ”les harkis sont des sous-hommes, qu’il y avait trop de blacks dans l’équipe de France de foot”, et bien d’autres encore. Il a été exclu par François Hollande du PS pour ses propos.

Une plainte a été déposée mercredi contre le président de la région Languedoc-Roussillon, Georges Frêche, pour “apologie de crime de guerre”, révèle Le Midi Libre. Il aurait en effet lancé lors d’une cérémonie à Villefranche-de-Conflent (Pyrénées-Orientales): “Les Allemands ont fait deux millions de prisonniers partis en villégiature s’occuper des gretchens, pendant que leurs maris étaient en peine sur le front Russe.”

Résultat : le PS de Martine Aubry retourne sa veste, la mange plutôt, et ne lui imposera pas de candidat concurrent officiel du PS. Mitterrand doit se retourner dans sa tombe, lui qui avait fait perdre le RPR, en jouant sur ses ambiguïtés avec le FN, RPR qui à l’époque n’arrivait pas à trancher de façon claire. Résultat, deux fois élu, avec un FN fort qui a permit à Mitterrand de réaliser ces deux élections successives. Là, l’UMP n’a même pas à agir, juste contempler le désastre.

Frêche, c’est le 2ème cas de psychiatrie lourde au PS. Ce type est fou, aigri comme Ségolène, lui de n’avoir jamais été Ministre, elle de n’avoir toujours pas compris qu’elle avait été battue. Frêche ne l’a jamais digéré et règle ses comptes depuis des années. Le résultat : des propos ignobles, intolérables, abjects, ça pue de Montpellier à Paris.

Comment le PS peut il hésiter ? Ou sont passés les donneurs de leçons sur le racisme et les champions de la morale à gauche ? A part Arnaud Montebourg, je n’entends rien, personne ! La solitude sonore du PS, le silence qui tue, c’est tout ce qu’on entend.

“C’est une bonne décision qui a été prise hier par le Bureau national”, a estimé Vincent Peillon mercredi sur France Info. Le dirigeant socialiste considère que Georges Frêche a été pris “dans un maëlstrom médiatique“. Pitoyable, sans courage Peillon, dieu qu’ils sont petits au PS, recroquevillés comme des morts-vivants.

Le PS, décidément, déjà au fond du gouffre, referme le trou dans lequel il s’est enterré.  Et ce n’est pas plus mal, ça évitera ces odeurs rances et insupportables.


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