Comment la poésie vient à l'esprit

rtiste dans l'âme, il sème à tout vent et dans chaque bocage, e regard à l'affût d'un petit rien pour agrémenter son collage. u parc Montsouris, son lieu de chasse et son point d'ancrage l scrute chaque passante, du bout des pieds jusqu'au visage, 'ignorant ni la cambrure des reins ni l'échancrure du corsage. 'est un esthète qui féconde son art par un onirisme sauvage, abité par une folie poétique pour que puisse émerger l'image t que les couleurs puissent se mélanger par un subtil dosage. aîtrisant parfaitement un art qui nécessite un grand courage insi qu'une infinie patience et un dévouement sans partage, es collages, qu'il confectionne et auxquels je rends hommage, ncitent à chevaucher le rêve et se laisser bercer par le mirage."

Alain ya Alain, ca fait plaisir, un texte "uni" sur le collage, ça fait du bien : comme une sensation de "sécurité" m'envahit; une sensation que, d'habitude, merveilleusement et nécessairement absente lors de la vue de tes collages ! En effet tout ces codes, toutes ces jambes, toutes ces tetes, toutes ces architectures d'une psychologie politique à l'odeur du sang, toutes ces textures visuelles d'une exitation sexuelle retenue dans son fantasme, tout ça et plus me met beaucoup moins à l'aise, déséquilibré par ce rayon jeté par tes collages sur mes rétines. Merci.
Shawki, Abou Sari...