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Rouen la bibliophile

Par Hugues
Amis Bibliophiles bonsoir,Répondant à mon appel d'il y a quelques temps, notre ami Lauverjeat vous invite ce soir à découvrir Rouen avec les yeux d'un bibliophile.Je continue de mon côté à travailler à l'amélioration du blog et vous proposerai d'autres modifications ce week-end."Rouen est une ville meurtrie par la guerre et miraculée. Elle possède des monuments splendides et rares : Cathédrale et sa cour des libraires, rues anciennes, maisons à pans de bois, aître, palais de justice, nombreux musées et patrie des Corneille et de Fontenelle (j’arrive aux livres !).Rouen la bibliophileLe manoir des CorneilleMa visite bibliophile a inclu la maison de campagne des Corneille à Petit-Couronne riche de quelques E.O., et le pèlerinage sur les lieux de naissance de nos trois écrivains. Côté libraires commençons par la librairie d’Elisabeth Brunet, 70, rue de la Ganterie. Les brochés modernes sont les plus nombreux. On y trouve un riche fond d’ouvrages de littérature en particulier, beaucoup de livres sur la Normandie (de toutes époques) et ailleurs et quelques très beaux livres reliés, notamment, lors de mon passage, par le relieur Smeers.Rouen la bibliophileLa librairie MetaisLa librairie Metais, 2, place Barthélémy, devant l’église Saint-Maclou s’ouvre dans un superbe magasin d’antiquités. Les livres exclusivement anciens sont cantonnés à deux petites pièces. Les amateurs de régionalisme normand les plus exigeants trouveront à coup sûr leur bonheur ; j’ai remarqué quelques éditions du XVIe siècle et quelques éphémères.Rouen la bibliophileLa librairie BertrandAu chevet de Saint-Maclou légèrement en contre-bas de la rue dans une maison à colombages, 110, rue Molière perche la librairie Bertran. Cette librairie est bien connue pour la diversité et la richesse de ses livres qu’elle présente assidûment dans les salons de bibliophilie parisiens et ses catalogues. Pour lors, ce 26 décembre la porte était close.Rouen la bibliophileLa cour des libraires de la cathédrale ( Bibliothèque du chapitre)Il faut encore voir la boutique du bouquiniste Trotta 148, rue Beauvoisine où les livres semblent disputer les derniers espaces libres aux clients et sûrement la librairie Magne 20, rue de l’Hôpital.Pour moi j’ai trouvé un XVIIIe illustré en maroquin rouge chez un des nombreux antiquaires de la rue Damiette, j’ai contemplé un minuscule enluminé et sa reliure d’orfèvrerie au musée des Antiquités et je n’ai pas oublié que la bibliothèque municipale renferme les fameuses collections Leber et Coquebert de Montbret où il n’est pas rare de trouver le merle blanc qu’on cherche vainement à Paris. LauverjatMerci, H

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