Al Qu’Aida partout, au Mali, en Somalie, au Yémen, au Pakistan, en Afghanistan bien sur et en Irak, toutes les dépêches ne parlent que de ça
Pourquoi médiatiser ça ?
Certains régimes n’ont pas encore compris, que le pouvoir et le manque de d’essor pour ses concitoyens sont les principales causes qui font que les peuples se jettent dans les bras de ceux qui n’attendent que cette opportunité pour avoir un accès dans ces pays en proie à des troubles.
C’est un retour à d’anciennes pratiques impérialistes et néanmoins néo colonialistes que les grandes puissances se remémorent sans s’être débarrassée de cette vision de supériorité leur donnant le pouvoir et la décision. Cette vérité amère et ces valeurs dangereuses amènent ces puissances à gérer cette nouvelle donne internationale de façon unilatérale car lorsqu’on regarde subjectivement ce qui se passe nous voyons que le monde arabo musulman se sent menacé.
Actuellement touts les regards se dirigent vers le Yémen vu sa position stratégique plus que son histoire et plus que vers la Palestine ou vers l’Irak, et cela nous rappelle un douloureux passé.
La sonnette d’alarme est tirée depuis longtemps dans ce pays, et rien n’est plus dangereux que la pauvreté et la marginalisation d’un peuple, sans oublier la faim qui pousse l’être humain à d’autres voies. Malgré les différences notables entre les régions dans ce pays le pouvoir est resté fermé sur lui-même, précipitant le fossé entre gouvernant et gouvernés faisant de sorte que l’appartenance a un peuple s’est dilué.
Ce qui se passe au Yémen peut être évité, mais la stratégie occidentale a amené le pouvoir à internationaliser le conflit interne pour légitimer une intervention, comme au Pakistan, en Somalie, au Soudan, et donne cette opportunité pour l’interventionnisme.
L ennemi public à été trouvé Al Qu’aida « la base » c’est vendeur et c’est la meilleure alternative pour une internationalisation d’un conflit sous couverture de combattre le terrorisme que le monde occidental à crée.