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Quand la cosmetique flirte avec la culture

Publié le 18 janvier 2010 par (dé)maquillages @demaquillages

QUAND LA COSMETIQUE FLIRTE AVEC LA CULTURE

Il y a des coïncidences qui n’en sont peut-être pas...
Celle que je vais vous raconter me semble plus présager d’une nouvelle tendance dans l’univers cosmétique que d’un simple hasard. Et pourtant, elle peut paraitre anecdotique au premier abord.
Jeudi dernier, j’étais invitée par Aïny, marque cosmétique alternative, au vernissage d’une exposition photos à la chic-issime boutique By Terry de la Galerie Véro-Dodat. Le même soir, j’ai accompagné mon amie Ludmilla à un concert folk donné dans les arty-ssimes locaux de l’agence de communication JAK pour la marque de beauté Bio Absolution.
Le point commun entre ces deux évènements : une marque cosmétique qui s’associe à la performance d’un artiste.
Daniel Joutard, le fondateur de Aïny, a été touché par le travail du photographe Daniel Silva Yoshisato, avec lequel il partage un certain nombre de valeurs : « Nous apprécions les mêmes choses avec Daniel, le contact des hommes travaillant de leur main, la richesse de la diversité des cultures, la grandeur de la nature. J’ai souhaité que la photo ait une place centrale dans notre approche de la cosmétique car elle "éveille un sentiment d’humanité" comme disait James Natchwey. Daniel Silva nous aide à montrer que nos produits sont le résultat du travail de la nature et de personnes très différentes mais toutes passionnées. »
Heloise Gazzola, Development Manager de Absolution, me confiait quant à elle que la marque a été dès le départ imaginée pour évoluer dans un cadre culturel. Car l’art, l’émotion qu’il procure, c’est également de la beauté. « C'est une marque qui s'inscrit dans un univers Arty, depuis la conception de ses packagings jusqu’à ses modes d’expression. Par exemple, les vitrines des magasins sont faites à la main, avec toujours des concepts créatifs nouveaux. Et pour communiquer, nous avons envie de parler de la beauté au sens large des choses, de ce qui est beau au-delà du cosmétique. Et cela passe aussi bien par la musique, la photo, des expos, le dessin, la peinture... »
Eh oui… Un cosmétique ne se limite plus aujourd’hui à un simple pot de crème. L’acte d’achat d’un produit devient de plus en plus « militant » : on achète un univers, un art de vivre, des valeurs que l’on partage avec la marque et que l’on a envie d’afficher.
Je crois que l’on verra de plus en plus d’initiatives de ce type, où la marque s’efface presque devant l’évènement culturel. Et si les marques alternatives ont ouvert la voie, elles seront certainement bientôt suivies par les autres*…
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Prochain concert organisé par JAK et Absolution : Joseph Léon, le 21 janvier (ce jeudi !!!), dans les locaux de l’agence à Paris. Si vous êtes intéressé, notez-le moi en commentaire.
Les 3 premiers qui le demanderont recevront une invitation valable pour 2 personnes.
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* … En réalité, je manque un peu d’exhaustivité dans ma réflexion, je ne me suis pas renseignée plus que ça et peut-être des grandes marques ont-elles déjà organisé de tels évènements ? Si vous pouvez éclairer ma lanterne…..

QUAND LA COSMETIQUE FLIRTE AVEC LA CULTURE

Le vernissage de l'expo photos de Daniel Silva Yoshisato

QUAND LA COSMETIQUE FLIRTE AVEC LA CULTURE

Le coiffeur Massato au vernissage

QUAND LA COSMETIQUE FLIRTE AVEC LA CULTURE

Une des photos de Daniel Silva

QUAND LA COSMETIQUE FLIRTE AVEC LA CULTURE

Une vitrine du Bon Marché par Absolution


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