La raison d’etre d’un communicant (iv)

LA TROISIEME DIMENSION DU COMMUNICANT : LE SAVOIR-ETRE

Qui se reconnaît dans ce portrait ?
Maîtriser ses émotions (pas facile quand on est un affectif !).
Ecouter et mettre en confiance (même si le moral n’y est pas !).
Etre intuitif (ça c’est pour le côté animal !).
Etre modeste (ça c’est une obligation, l’ombre… toujours !).
Etre « positif » (surtout si on est négatif !).
Etre curieux (c’est The qualité !).
Avoir le sourire (et savoir le garder).
Avoir le goût de la liberté (de penser principalement).
Ne pas avoir peur de la peur (d’être incompris, moqué, critiqué).
Etre joueur (dans son acception première ; c’est-à-dire aimer se divertir, aimer s’amuser).
Accepter de donner avant de recevoir ! (C’est un principe de vie).
En un mot comme en cent, un communicant dans sa façon d’être, doit aller jusqu’à la ligne blanche ; la scruter, la frôler, la caresser sans jamais la franchir !
Le communicant qui ne s’arrête pas à temps le paye cash.
On prend comme prétexte pour se débarrasser de lui ou le mettre au placard, son comportement pas sa compétence.
Dans ce métier, mieux vaut se tapir derrière une porte et donner de la voix quand elle s’entre ouvre. Puis, attendre une nouvelle ouverture, pour à nouveau chanter…