Depuis une vingtaine d’années, les conférences TED rassemblent aux Etats-Unis des esprits brillants qui veulent changer le monde (parmi eux, Guy Kawasaki et Seth Godin, dont les derniers livres ont été publiés en France chez Diateino). Les vidéos de ces conférences sont ensuite diffusées sur la Web, et c’est spectaculaire.
La première édition de TEDx Paris a attiré plus de 500 personnes à l’espace Pierre Cardin. J’ai eu la chance de pouvoir assister à la sélection de deux conférences par les organisateurs et j’ai vu que rien n’est laissé au hasard : sélection rigoureuse des intervenants, timing très précis pour chaque orateur, répétitions avec l’équipe TEDx.
Il semble que deux interventions aient surtout marqué les participants, celle de Sarah Kaminsky, la fille du faussaire qui a sauvé de nombreuses vies, pendant une trentaine d’années et toujours pour de justes causes, et la conclusion de Cyrille de Lasteyrie (Vinvin sur Twitter), dont beaucoup d’internautes - dont moi, qui suis une fan - apprécient le ton à la fois juste et décalé.
Nous le savons tous, les conférences qui marquent le plus, sont celles où l’on sent que l’orateur laisse passer l’émotion, peu importe qu’il soit parfois maladroit, qu’il parle un peu trop vite. La conférence de Sarah me fait penser à celle de Majora Carter à TED en 2005, dont Guy Kawasaki dit qu’elle a fait aussi bien que Steve Jobs. Cela se passe de commentaire.
Jeu de briques
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Pacman
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