Magazine Culture

Festival kontact sonores

Publié le 05 février 2010 par Desartsonnants
KONTAT SONORES
du 02 06 Mars 2010
CHALON SUR SAÔNE

Il est des festivals qu'on aime à soutenir, à défendre, et à faire connaître.

Tout d'abord parce qu'ils parlent de la chose sonore, et c'est bien là le premier intérêt que ce blog partage avec eux.
Ensuite parce qu'ils sont jeunes et que si la jeunesse peut être source de vitalité, de fraîcheur, c'est parfois aussi une cause de fragillité, le temps que la manifestation s'ancre dans un paysage culturel d'une ville, et qu'elle y trouve des soutiens suffisants pour perdurer. La troisième raison, est que, si ces nouveaux festivals,  de plus pourrait on parfois penser, n'ont pas la notoriété ni les moyens de certaines grosses machines ultra médiatisées, ils n'en proposent pas moins, en tous cas pour les plus sérieux d'entre eux, des programmations très réfléchies, originales et pertinentes. Parfois plus pertinentes d'ailleurs que de gros événements qui ne prennent que peu de risques et jouent sur un copinage récurrent. Bref, si dans cet article je fais l'éloge de jeunes manifestations, impulsées par de jeunes équipes mais dont la valeur n'attend pas, on le sait le nombre.... c'est pour vous parler de Kontact sonoreS, qui se tiendra prochainement à Chalon-sur Saône, en Sud Bourgogne. Une ville dans laquelle j'ai d'ailleurs découvert, par l'entremise d'une personne hélas aujourd'hui disparue, toute la richesse de ce que l'on nomme le paysage sonore, parfois dans le sens très large du terme.
Mais revenons à Kontact sonoreS. Remarquez que la dernière lettre de ce festival, marque du pluriel, est mise en évidence graphiquement de par sa taille. On peut supposer que cette particularité de la graphie n'est pas innocente de la part des organisateurs, et qu'elle veut d'emblée montrer la diversité de la création sonore et musicales présentée. On trouve en effet dans cette manifestation des concerts de toys instruments, des artistes créateurs d'instruments, de lutheries électroniques, des monstres sacrés de la musique électroacoustique (ou concrète pour certains officionados schaeffériens), des chercheurs et joueurs  de sons courant électro-expérimental, des plasticiens installateurs, et tout cela pour des prix d'entrée extrèmement abordables, quand l'entrée n'est pas libre. Ajoutez à cela une fête foraine qui en est une sans en être vraiment une,  installations sonores façon beaux-arts, et une nuit où déferleront des flots sonores sans pourtant succomber à la sacro-sainte tendance électro dancefloor, et vous aurez une petite idée de la chose. On peut constater que, dés sa deuxième édition, Kontact sonoreS prend de de l'ampleur, étoffe sa programmation, tout en conservant l'exigence dans ses choix artistiques, et qu'il pourrait devenir un incontournable de la scène sonore actuelle, c'est en tous cas tout ce que qu'on peut lui souhaiter.
Alors, pour défendre cette initiative bienvenue dans la sphère des événements sonnanoires, il ne nous rete plus qu'à aller les soutenir sur le terrain, le programme en vallant assurémment le déplacement.

PROGRAMME 2010
Mardi 2 mars - Colisée – 20h
Entrée : 2 euros / gratuit: invitation, étudiants, chômeurs

Male Intrumenty
Petits Instruments (Małe Instrumenty) - Concert sur jouets d'enfants
Małe Instrumenty (Petits Instruments) est un groupe explorant de nouvelles possibilités sonores à travers une multitude de petits instruments. Cette large game d’instruments faite de jouets pour enfants ou autres inventions est définie par le son qu’ils émettent. La musique créée de cette manière révèle les couleurs uniques du son, parfois beau et fin, parfois surprenant et perspicace, parfois exposant la nature incomplète du son généré, et donnant du plaisir aux oreilles..
www.maleinstrumenty.pl




Mercredi 3 Mars – Lapéniche – 20h30
Entrée : gratuit

Concerts sur instruments détournés
Antioch
ANTIOCHE KIRM & THE ARCHAIQUE KERMUTT SHUFFLE SHOW
Musicien hybride, bassiste, contrebassiste, Antioche Kirm travaille sur la composition inachevée, l'improvisation, la mise au point de dispositifs interactifs, la vidéo, la composition de musique de film et élève des Kermut.
Sur scène, Antioche, probablement sous hypnose, pratique un jeu de basse électrique
acéré et s’évertue à chanter dans des langues approximatives. Il est accompagné par une horde de kermutts (espèce de robots mutants-angoras) capables de pas grand chose si ce n’est de pratiquer une forme de tap-dancing raffiné et efficace. Musique automatique électrique et mécanique spatialisée...
crash-processing:
Procédé permettant de composer une musique aléatoire élaborée de fragments sonores capturés en live par un système informatique instable. Ce concept mortel permet en outre un renouvellement perpétuel de la nouveauté (car il est absolument impossible de refaire deux fois le même morceau...). Ceci dit, cette volonté de ne pas contrôler absolument le processus ouvre des horizons nébuleux et laisse aux aléas du crash-processing, la possibilité de transformer des accidents en événements musicaux constructifs.
Pop angora cybernétique
Paul Courlet – basse électrique, machines
Les Kermutts - tap-dancing
www.antiochekirm.net
EVE RISSER- piano préparé
Eve Risser
Photographie par Joel Grip
La recherche musicale d' Eve Risser est basée sur l'exploration des paradoxes et limites sonores du piano. Après des études musicales en alsace (piano, flûte traversière, claquettes, ondes martenots..), à Paris et Baltimore (Peabody Institut), elle décide d'approfondir sa recherche musicale à travers l'improvisation et la composition en se basant à Paris où elle s'investit également dans l'organisation de concerts, d'un festival et du label Umlaut Records.
Eve continue de développer des projets musicaux en France et à l'étranger comme entre autres le quartet The New Songs qu'elle co-lead avec la chanteuse Sofia Jernberg (SE), ou le duo Donkey Monkey avec la percussionniste Yuko Oshima (JP/FR).
Par ailleurs, elle fabrique toutes sortes de machines sonores à base d'électrophones et d'instruments jouets réunis dans une installation nommée Rève chaos.
Parmis de nombreuses rencontres, elle a joué avec Guigou Chenevier, Matthias Kaul, Christine Sehnaoui-Abdelnour, Axel Dörner, Raymond Strid, Joel Grip, Jack Wright, John Berndt, Benjamin Duboc, Barry Guy, Michael Zerang, Rokya Traoré, Charlie Haden et John Hollenbeck et dans des festivals tels que Tokyo Jazz Festival, Umea Jazz Festival (SE), High Zero (USA), Buenos Aires Jazz Festival, Jazz à Mulhouse-Météo, Mégaphone (Dijon), Musique Action(Nancy) pour en citer quelques-uns.
www.myspace.com/rissereve




Jeudi 4 mars – Nicéphore Cité – 20h30
Entrée : gratuit / réservation conseillée
Concerts multidiffusion + vidéo


CHDH

CHDH
Chdh est une performance proposant une symbiose entre le son et l’image, où l’un et l’autre se complètent jusqu’à devenir indissociables. Chdh crée un univers unique, froid mais organique, entre l’art plastique et la musique électronique. Des cubes, rectangles ou autres formes géométriques minimales s’entremêlent en organisations complexes dans un environnement noir et blanc, aux sonorités simples et précises.
www.chdh.free.fr/
GORAN VEJVODA
GORAN VEJVODA
Musicien/plasticien de la modularité travaillant principalement dans les domaines sonores.
"Créer un carré de silence, faire éclore un cercle de son" constitue un de ses paradigmes favoris. Ses préoccupations portent sur des domaines aussi variées que les phénomènes psycho-acoustiques, le silence, l'origine et la disparition des sons, leurs traces invisibles, l'écoute non-émotionnels, le processus et le produit final, leurs implications sociopolitiques, la société de la "génération compression", la culture du casque...
Goran Vejvoda s'intéresse à la nature et au sens profond du son, ses modes de représentation et de dissémination dans des domaines variés comme la science, la danse contemporaine, les hybrides culturels, le net, le cinéma, la musique aujourd'hui, les médias et ses formes de visualisation/matérialisation dans l'art contemporain, interrogeant les innombrables points de références et de permutations.
Il a travaillé, entre autres, avec le Bédéiste Enki Bilal (créateur des bandes-son de deux de ses films), le chorégraphe de danse Angelin Preljocaj, l’artiste multimédia Ramuntcho Matta.
www.goranvejvoda.com
KAFFE MATTHEWS
KAFFE MATTHEWS
Son amour des sons, sa volonté de les mettre à jour par une approche ludique conduit Kaffe Matthews à jouer avec les ondes d’un haut-parleur à l’autre.
Après des études de violon, de zoologie, de percussions, et un master de musique, cette artiste sonore propose des lives dans des galeries, tentes, églises, salons de thé. Sa musique est sculptée dans des paysages de textures étranges, des hymnes au grain sonore vibrant, utilisant des micros contacts ou un violon.
Elle a collaboré avec Christian Fennesz, mimeo, Charles Hayward, Jon Rose, Pan-sonic, Butch Morris' conduction, Andy Moor (the EX), the BROOD, Neotropic (aka Riz Maslem), Hayley Newman, Kingsuk Biswas (Bedouin Ascent).
www.kaffematthews.net




Vendredi 5 mars – Conservatoire à Rayonnement Régional – 20h30
Entrée : gratuite
Diffusions en acousmonium - live

La soirée débutera avec trois pièces acousmatiques de Christian Zanési, musicien, compositeur, directeur adjoint et directeur artistique de l'INA-GRM, Groupe de Recherches Musicales, basé à Radio France. Il proposera donc trois pièces de 15 minutes à écouter dans l’obscurité, lui étant au centre de la salle.
CHRISTIAN ZANESI
Christian Zanesi
« Sémaphores » ( 2009 / 15’)
Le titre s’est imposé presque à la fin du travail, quand toute une série de signaux électroniques, qui étaient dans un premier temps en filigrane, sont apparus comme un des éléments déterminants de l’œuvre. Ces sons qui, même éloignés ou fortement dégradés, conservent leur présence. C’est la nature du signal que de vouloir traverser le bruit. Le titre est alors à prendre comme la métaphore de la matière signal.
Il y a un autre niveau dans cette œuvre lié aux sons anciens que j’ai exhumé et qui furent réalisés dans les années 80 sur l’ordinateur « temps différé » du Grm. Des sons qui, en leur temps, ont considérablement renouvelé les matériaux de la musique électroacoustique, donnant alors une nouvelle impulsion aux compositeurs fréquentant le groupe. Ces sons, pour certains irréalisables aujourd’hui ( particulièrement les transpositions dans l’extrême grave) ont marqué l’esthétique des années 80.
« Tours et détours en 78 tours » (2009 / 15’)
C’est le hasard (faisant parfois si bien les choses) qui m’a mis dans les mains, au printemps 2007, un fameux disque 78 tours : gravé par Pierre Schaeffer en 1949, il est essentiellement constitué de simples sons d’instruments (hautbois, flûtes, percussions métalliques, voix « radio »…) présentés sous forme de sillons fermés, autrement dit se répétant à l’identique quelques instants. Il s’agit d’un des disques contenant les matériaux préalables à la composition de la « Suite pour 14 instruments » entendue pour la première fois sur Paris-Inter en novembre 1949.
J’ai été frappé par la douceur ténue qui se dégageait de ces sons et je me suis senti comme un enfant découvrant dans un coffret oublié un très vieux film de famille.
Je n’ai pris que quelques uns de ces fragments , et je les ai travaillés en les associant à des matériaux électroniques qui me tiennent à cœur aujourd’hui. J’ai conservé aussi - en le variant légèrement - ce rythme fameux du 78 tours (78 à la noire) qui est me semble-t-il une des clés du succès de la musique concrète des débuts. Petit à petit j’ai compris que je travaillais sur l’idée de la fragilité avec ce sentiment de la disparition inéluctable des êtres .
« Constructions métalliques » (2001, 15’30)
Les sons viennent d’un atelier de ferronnerie situé dans ma rue à Saint-Ouen.
Un atelier centenaire.
Sons de cloches, de soudures, de scies. Étincelles, crépitements, silences.
Ancien étudiant de Guy Maneveau et Marie-Françoise Lacaze (Université de Pau, 1974-1975) puis de Pierre Schaeffer et Guy Reibel (Conservatoire de Paris, 1976-1977).
Depuis son entrée au GRM de l’Ina en 1977, il a multiplié les expériences, les réalisations et les rencontres. Il est à l’origine de nombreux projets dans les domaines de la radio, des publications et des manifestations musicales, notamment : l ‘émission Electromania sur France Musique, le festival PRESENCES électronique et les coffrets CD « Archives GRM », « Bernard Parmegiani, l’œuvre musicale », « Luc Ferrari, l’œuvre électronique ». Il est aujourd’hui le directeur adjoint du GRM de l’Ina.
Depuis les années 90 il compose dans son home studio et puise son inspiration dans la rencontre poétique avec des sons remarquables.
cahiersacme.over-blog.com/article-29411439.html
Bernard Parmegiani sera notre invité d’honneur pour un concert dans le noir: De Natura Sonorum, version intégrale ; projection sonore par l’artiste, sans qui ce festival ne serait pas.
BERNARD PARMEGIANI
Bernard Parmegiani
De la fin des années 50 à aujourd'hui, Bernard Parmegiani a créé plus d'une centaine d'œuvres marquant l'histoire de la musique électroacoustique, d'autres sont inscrites dans l'inconscient collectif des Français (le générique de Stade 2 !). Il a aussi composé des musiques pour le cinéma, la vidéo, le documentaire, la danse, le théâtre, le mime, la télévision... Petit tour d'horizon d'une œuvre monumentale.
La musique de Bernard Parmegiani est faite de mouvements, continuums, lignes droites, courbes, spirales, répétitions, distorsions... Bernard Parmegiani agit en véritable designer sonore, utopiste d'une musique qui se regarde avec les oreilles et s'écoute avec les yeux. Il met en relation des concepts qui s'opposent comme le naturel / l'artificiel, l'acoustique / l'électroacoustique, dedans / dehors, pleins / déliés... Les titres de ses œuvres annoncent souvent explicitement cette intention. L'imbrication de ces notions aboutit régulièrement à une mise en abîme vertigineuse, à l'image des perspectives piégées de Max Cornelius Escher. Répétitions, refrains impromptus et sonorités technoïdes avant l'heure rendent son œuvre accessible.
www.parmegiani.fr
MEDERIC COLLIGNON
clôturera la soirée avec un live solo décoiffant !

Mederic Collignon
Musicien inclassable issu de la nouvelle scène du jazz français, il a collaboré pour et avec Mégaoctet d'Andy Emler, ONJ sous la direction de Paolo Damiani, Qüntêt de Jean-Louis Pommier, Ratz codirigé avec Thomas de Pourquery, il a forgé sa patte, développer son goût pour les musiques (du new orleans au free, de la salsa, du reggae, du rock, du rap, de la musique contemporaine). Les techniques, les standards et l’ego dépassés, Médéric Collignon trouve sa voie(x) dans l’improvisation. Epaulé dans sa quête d’œuvres par Bernard Lubat, Michel Portal, Louis Sclavis ou encore Claudia Solal, Lê Duy Xuân de la formation « La Théorie du Chaos », le trentenaire se consacre aujourd’hui à l’exploration de l’improvisation totale. Spectacle époustouflant.

www.myspace.com/medericollignofficial
http://www.dailymotion.com/video/x2wjzh_medericcollignon-auscultation-cardi_music




Samedi 6 mars : – Lapéniche – 20h>5h
Entrée : 5/6.5/8 euros
Soirée électro choc
Tapetronic / Sgure / Otto Von Shirach / Monster X / Sinead O Connick Jr + guests
Installations interactives ENIAROF (fête foraine expérimentale)
ENIAROF
Eniarof
Installations sonores Interactives

Dès 20h, venez jouer sur les installations interactives du groupe de recherche proposant des fêtes foraines expérimentales ENIAROF, en écho au Carnaval de Chalon !!!
Eniarof est une fête foraine revisitée dans laquelle émerge un nouveau concept de l’attraction à l’intérieur de la création artistique. Les créateurs de chaque Eniarof s’inspirent des cultures populaires anciennes et émergentes autour des règles du « Dogmeniarof ». S’y rencontrent joyeusement et sans complexes des domaines telles que le karaoké, la lucha libre, les jeux vidéo, les installations et performances artistiques, le film gore, et le cabinet de curiosités pour donner naissance à un sympathique, mais éphémère, monstre à n-têtes, uniquement définissable sous la dénomination « cette Chose que l’on nomme Eniarof ». Créé en 2005 pour un diplôme d’arts plastiques à l’École supérieure d’art d’Aix-en-Provence, Eniarof s’est baladé depuis entre plusieurs festivals d’art en France et à l’étranger, mobilisant de nombreux jeunes créateurs de l’école et au-delà.
eniarof.com
TAPETRONIC
Tapetronic
Créé en 2007, France
solo scratch cassette
Influences: Technologies sonores détournées (Hip Hop scratch, Arts sonores, Christian Marclay, Stockhausen & Walkman …)

Alexis Malbert est plasticien et musicien, il présente TAPETRONIC, une performance sonore et visuelle dans laquelle il manipule des instruments détournés conçus pour un jeu de scratch sur cassettes audio préparées.
Il propose ainsi de venir découvrir les multiples possibilités qu’offre la mécanique de magnétophones transformés (lectures manuelles, variations de vitesses, fragmentations des sons, etc.). Faire usage de la musique comme d’une excitante source d’énergie.
www.myspace.com/tapetronic
SGURE
Sgure Maxibacon
Satire
Créé en 2003, France
Freaka Peaka- Laptop/micro
Influences: Grind, noise, cut-up speed, videogames, bricolage & american idol

Tempérament indécis, Mur de son extrêmes et violents, Silence, Voix, Samples de Van Halen, Hamburgers, American Idol, Craquements, Demeuré débile, Charges statiques vomissantes, Couper un ver de terre et regarder les deux bouts bouger, Confondre jeux vidéos et musique, Rocking a gabber party, Gribouiller la gueule des gens endormis, chier ses propres intestins…
Ce collage aléatoire de confusion sonore créé avec des logiciels et gamepad bidouillés, démontre que Sgure correspond à l'image d'un enfant coincé dans un corps d'adulte qui ne pourra échapper à cela qu'à travers une surenchère chaotique et une salivation obsessionnelle.
Freaka a été publié par la maison d'édition "le dernier cri" ou des labels tels que "Wwilko", "Fathme","VVm", "School of Meat Cutting" et est actuellement actif dans "Sgure", "Maxibacon", "Gazormass"
http://www.halftheory.com/sgure
http://www.myspace.com/sgure
OTTO VON SHIRACH
OTTO VON SHIRACH
Electro-breakcore
Créé en 1995, Miami, USA. Otto Von Schirach – machines, voix
Influences: Miami bass, Gore Grind, Gangsta Rap and Afro Cuban Noise

Otto von Schirach est à l’électro ce qui Fantômas est au rock, un laboratoire d’idée en ébullition constante, ayant à ce titre rejoint les rangs d’Ipecac, le label de Mike Patton, Otto le provocateur pilonne l’esprit des auditeurs au marteaupiqueur.
Entre Aphex twin et Slipknot, rencontre avec le Frankenstein de l’électro…
Artiste issu de Miami, Otto Von Schirach propulse ses premières productions breakcore à la fin des années 90. En 2006, Mike Patton lui ouvre les portes de Ipecac, permettant ainsi à cet homme extravaguant, complexe et complet, d'ouvrir encore un peu plus ses horizons.
www.myspace.com/ottovonschirach
http://www.ottovonschirach.com/
MONSTER X
Monster X
Electro-breakcore
Julien Caraz – Machines
Producteur déviant, Monster X déboule en trombe dans la scène électro et se forge progressivement une réputation sérieuse de destructeur de dancefloor. Une technique à la pointe et de loops bourrées de références raves font exploser en morceaux electronica, funk, acid, et breakcore.
Premier signe de consécration, le fameux label français PeaceOff a récemment décidé de presser ce concentré de patate sur vinyl.
www.myspace.com/beatzemonster
SINEAD O CONNICK JR‏
Sinead O Connick
Breakcore, mashup, plunderphonics
Créé en 2005, Paris
Frédéric Malki - machines
Influences: John Oswald, Aphex Twin, Claude François, Michael Jackson, Manovar ou Napalm Death.

Schizophrénique, ecclectique, supersonic, plundephonic, electronic...Fils de pub et de radio, Frédéric Malki puise son inspiration dans les déchets de notre culture populaire. Présent sur la scène musicale par ses lives déjantés ou des morceaux fixés (Peace Off Label...), il propose aussi des festivals au sein de l'association Musikmekanikcirkus ou des programmes de création radiophonique. Cela donne plutôt un double concentré de tomate, ail et fines herbes.Ses lives imprévisibles se basent sur l'utilisation de jouets, objets, micros pour un show sonic allant du easy listening au speedcore, en passant par la disco, les années 80, le métal.Soyez prêts!
Schizophrénique, ecclectique, supersonic, plundephonic, electronic...Fils de pub et de radio, Frédéric Malki puise son inspiration dans les déchets de notre culture populaire. Présent sur la scène musicale par ses lives déjantés ou des morceaux fixés (Peace Off Label...), il propose aussi des festivals au sein de l'association Musikmekanikcirkus ou des programmes de création radiophonique.
Cela donne plutôt un double concentré de tomate, ail et fines herbes.Ses lives imprévisibles se basent sur l'utilisation de jouets, objets, micros pour un show sonic allant du easy listening au speedcore, en passant par la disco, les années 80, le métal. Soyez prêts!
http://www.myspace.com/monculsurlacomode

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