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La Malédiction de la Femme Vampire : Les Monstres [Cycle Singapour, Malaisie]

Publié le 16 février 2010 par Diana
La Malédiction de la Femme Vampire : Les Monstres [Cycle Singapour, Malaisie]Production Cathay-Keris en N&B mettant en scène l’actrice Maria Menado, La Malédiction de la Femme Vampire / Sumpah Pontianak (1958) de B.N. Rao expose l’incarnation du malin sous les traits féminin.
La Malédiction de la Femme Vampire : Les Monstres [Cycle Singapour, Malaisie]Maria désire retrouver sa mère qui vit maintenant sous l’apparence d’une bossue. Elle quitte son village et par à sa recherche. La disparition de Maria inquiète son mari qui part à sa recherche avec des amis…
La Malédiction de la Femme Vampire est un film fantastique alliant les codes du film d’horreur à l’occidental. B.N. Rao nous sert un film avec toute une flopée de « monstre » : La Malédiction de la Femme Vampire : Les Monstres [Cycle Singapour, Malaisie]femme vampire, homme sauvage (singe ?), corbeau ( ?) de taille humaine ou bien encore un homme chauve souris (un fantôme semble-t-il) parsème ce long-métrage. La femme vampire semble être un personnage incontournable du panorama cinématographique malais si bien que nombre de film lui serait dédié. Sans ça, pas grand-chose à se mettre sous la dent avec cette production où Maria Menado (star adulée) tient un rôle phare, sachant qu’elle est la femme vampire que tous redoutent. On louera la générosité du cinéaste à nous ouvrir tout un tas de « monstre » qui vont et viennent tout en s’affrontant.
La Malédiction de la Femme Vampire : Les Monstres [Cycle Singapour, Malaisie]Sinon, La Malédiction de la Femme Vampire souffre des maux des films de cette époque en Malaisie. D’une part, les longueurs, les faux rythmes. D’autre part, des scènes poussives qui auront au moins le méritent de faire rire par un aspect ridicule. Sans oublier le jeu caricatural de certains acteurs qui participent à l’hilarité, mais aussi la chansonnette qui semble être plus poussée qu’à l’accoutumé, difficile à supporter lorsque celle-ci s’invite de façon inopportune.
La Malédiction de la Femme Vampire est donc un film qui allie fantastique, once d’horreur (gentillet), comédie, mélodrame mais aussi chants. Un film qui se situe dans la campagne reculée de Malaisie et qui livre tout de même un bon moment s’apparentant à une série Z, moment pas inoubliable non plus.
I.D.

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