Le chaînon manquant

Depuis des dizaines d’années, les paléontologues, les archéologues, les cequevousvoulezenlogue cherchent et ne trouvent pas : quel est le chaînon manquant (missing link en anglais) entre l’homme et le singe.

Et bien je l’affirme, après des heures et des heures de recherches sur internet, je l’ai trouvé : il s’agit (paradoxalement) d’un singe à savoir : le bonobo.

En effet, ces primates sont les seuls (l’homme et la femme mis à part) à forniquer par plaisir pour évacuer tout stress.
Les mâles prennent les femelles classiquement par derrière (trop facile !), mais aussi en face à face, ce qui est unique chez les animaux ; ils se branlent, voire pratiquent des actes sexuels les plus expérimentaux les uns que les autres, homosexuels ou non (ils feraient rougir les auteurs du Kâmasûtra !). On pourrait les définir de pansexuels ou d’omnisexuels, ce qui est  (légèrement) différent des bisexuels.
Il est très intelligent et est le seul à pouvoir communiquer, après apprentissage, avec l’homme en langue des signes.

Le plus important ? Chez ces singes, tout conflit est évité par un acte sexuel intempestif. Un petit agacement, une contrariété ou une querelle ? Hop un touche-pipi ou un baiser sur la bouche, la tension retombe et le conflit est évité.
C’est bien la preuve que ce primate ne cherche pas, par cet acte, à se reproduire mais bien à jouir pour le plaisir.

D’ailleurs, ne devrait-on pas prendre modèle sur eux, pour appliquer ce fameux dicton : faites l’amour pas la guerre ?

Certes, il y a encore plus lubrique comme animal : les punaises. Celles-ci sont parfois tellement excitées que les mâles punaises (ne vous méprenez pas, ils ne donnent pas dans le transgenre), dans un élan de coït incontrôlable, sont capables de transpercer les carapaces des copains qui passent à côté d’eux.
Mais imaginer que je descends de la punaise, j’ai un peu de mal (même si j’ai des amis qui ont parfois ce genre de pratique).