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C'est permis

Publié le 04 mars 2010 par Pjjp44

C'est permis
Mais je vous en prie, prenez donc place, et si cela ne vous dérange pas, je suggère même que l'on puisse mettre un peu de musique, par là-dessus-ou en dessous,Enfin, comme on s'imagine.
Tu sais, c'est simple comme un clic de droit, tu rajoutes ta compile et voguent les états d'âme;Personnellement -c'est comme ça qu'il faut dire, je crois, dans ces cas là, je verrais bien quelques arpèges sur une guitare sèche- la si mal nommée- puisque pour faire passer les émotions dans la colonne, avec les frissons qui vont bien avec, l'instrument dans les cordes semblerait, à l'instant, où j'en cause, le mieux adapté et humide à souhait.
"Tout bonheur que la main n'atteint pas est un leurre"Moins le quart, répondit  l'horloger de Saint Paul (sans ses Rogatiens)
Ah, c'est sur, ça te va bien de te faux-filet comme il se doigt;et tout ça, parce que, comme tout "bon" garçon qui se respecte, tu choisis, en pagaille et en général, l'esquive, quand tu ne sais plus comment faire avec les gros  mots qui comme les flots d'ici ou d'ailleurs submergent l'entendement et à l'occasion le rez de chaussée si rien n'a été prévu pour passer à l'étage supérieur.
"Même si le grand chant ne doit plus reprendre ce sera pure joie ce qui nous reste. Le fracas des galets sur le rivage dans le reflux de la vague."
Mais qu'est ce que tu crôa?Qu'à voguer ainsi sur les flots aventureux d'une  illusion bien mure, tu vas pouvoir t'en sortir sans dommage; La toile est araignée, et communique avec sa poussière d'étoile, les moulins avant et après aussi, un peu de douceur pour mieux faire passer l'actualité comme si le violon de tes solitudes pouvait délasser un corps tout seul,un corps constitué de l'être à ne pas naitreet déjà tout usé.
"tu joues, joues, joues nuit et jour, jour et nuit, comme sur une scène tu joues, joues ta vie..." avec un fond  de merlot, un pétard hors saison, un café, l'addition, et l'occasion d'offrir ton solo avec toute l'énergie qui t'habite, quand tu poses tes deux mains, bien en évidence sur tes joues , les coudes confortables et que l'esprit sein de ta mère, t'invite à l'oubli et à te raccrocher au balconnet.
Il y a tant de souffrances sur le palier, tant d'incompréhension dans la multitude, tant d'énergie mal contenue, en flatulences, en morsures, en  noble fatigue sur le tarmac de ton compte à rebours.Chacun fait son show  d'effroi  jusqu'à la dernière représentation où les spectateurs ne viendront plus, puisqu'ils ont trop à faire avec leur propre comédie, mal ficelée, mal programmée, et guerre sponsorisée.





"Yellow is the colour of my true love's hair
In the mornin' when we rise,
In the mornin' when we rise,
That's the time, that's the time,
I love the best.
Blue's the colour of the sky
In the mornin' when we rise,
In the mornin' when we rise.
in the mornin' when we rise.
That's the time, that's the time
I love the best.
Green's the colour of the sparklin' corn
In the mornin' when we rise,
In the mornin' when we rise.
in the mornin' when we rise.
That's the time, that's the time
I love the best.
Mellow is the feeling that I get
when I see her, mm hmm,
when I see her, uh huh.
That's the time, that's the time
I love the best.
Freedom is a word I rarely use
Without thinkin', mm hmm,
Without thinkin', mm hmm,
Of the time, of the time
When I've been loved". 
Dans mon pré construit culturel, où paissent mes bagages consignés, l'orchestre s'apprête à jouer son grand machin, une  redif. pour la gloire et le public qui en redemande comme il faut, en tapant dans se mains ou celles du voisin, du moment que pour un instant choisi, les soliloques s'accordent, les épaules se touchent et les larmes se noient dans la nuit...
du jeudi .
C'est permis! 
(avec l'aide et dans le désordre de Jacques Higelin, Donovan, W.B. Yeats et  Greame Allwright)

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