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Décodage de l'image égyptienne - x. la scène de chasse dans les marais

Publié le 30 mars 2010 par Rl1948


   Dans cette dernière intervention avant les vacances de Printemps qui, en outre, constituera l'ultime que je consacrerai au fragment peint d'un fourré de papyrus (E 13101) exposé dans la vitrine 2 de la salle 5 du Département des Antiquités égyptiennes du Musée du Louvre,

Vitrine 2-copie-1

je voudrais, amis lecteurs, vous proposer d'analyser, non plus le seul bosquet comme la semaine dernière, mais l'ensemble de cette composition antithétique considérée par les égyptologues comme un véritable topos iconographique de l'art funéraire égyptien : il s'agit de ce qu'ils ont pris l'habitude de nommer  "scène de chasse et de pêche dans les marais".
Cailliaud - Tombe Néferhotep-1
   Peut-être certains d'entre vous ont-ils encore vaguement en mémoire un article que, modestement, je qualifierais de fondamental en la matière et que j'avais eu l'opportunité de rédiger le 12 août 2008, dans le cadre de cette même rubrique consacrée au "Décodage de l'image égyptienne" : j'y j'envisageais
plus spécifiquement la symbolique de la seule scène de pêche au harpon.
   Sans évidemment vous imposer quoi que ce soit - d'autant que j'en reprendrai ici certaines notions cardinales -, il me semble qu'il serait véritablement profitable de consacrer quelques instants à le relire sous l'angle d'une sorte de parallèle au message qu'aujourd'hui je voudrais énoncer ; et ce, de manière que les deux participent d'un ensemble réflexif homogène.
   J'expliquais en effet d'emblée dans ce billet d'alors, à mon sens un peu passé inaperçu dans la mesure où je le publiai au beau milieu des grandes vacances, qu'il serait tout à fait réducteur et erroné de considérer l'image égyptienne comme n'offrant qu'un seul niveau de lecture ; d'autant plus qu'elle ne se revendique nullement d'une fonctionnalité purement esthétique : tel l'art tout entier de ce pays d'ailleurs, elle se veut à finalité magique.
   De grands noms comme, par exemple, feu l'égyptologue belge Roland Tefnin ont, depuis un certain temps déjà, parfaitement démontré qu'existaient deux, voire plusieurs approches épistémologiques possibles. Il n'est à présent plus besoin de démontrer le bien-fondé de semblable assertion :  il me suffira, je pense, de vous la faire entrevoir pour vous convaincre de sa pertinence.
   Et dans ce but, je vous propose de nous pencher sur ce qu'actuellement il nous reste des peintures de l'hypogée réensablé et donc introuvable de Neferhotep : les  gravures réalisées par Frédéric Cailliaud lui-même ; et plus particulièrement, à la gauche du fourré de papyrus du Louvre, la scène de chasse au bâton de jet, ou au boomerang.
Neferhotep - Scène de chasse au boomerang
   Que "voyons"-nous sur son dessin ?
     Neferhotep, le défunt, - la petite barbe très courte en atteste -, debout,  en taille héroïque, jambes gauche en avant et droite posant sur les doigts de pied, en parfait équilibre sur cette pourtant bien frêle embarcation, accompagné de trois jeunes femmes, s'apprête à lancer son bâton sur les oiseaux - essentiellement des canards - qui volent au-dessus du fourré de papyrus : il chasserait donc quelque volatile afin d'assurer sa subsistance et celle des siens.
   Que voilà une délicate scène bucolique, tout empreinte d'une sérénité apollinienne, on ne peut plus réaliste !
   Réaliste l'esquif façonné à partir de tiges de papyrus voguant sans être dirigé par quiconque ?  Et qui, nonobstant sa fragilité évidente, supporte sans déséquilibre aucun quatre personnes dont l'une, tôt ou tard, sera conduite à poser un geste brusque ?
   Réaliste le fait que pour une partie de chasse dans des marais, tout ce petit monde soit ainsi en grand atour ? L'épouse et la fille du défunt rivalisent de coquetterie avec leur robe de lin fin, peu ou prou décolletée dont un collier à plusieurs rangs de perles vient  harmonieusement parer la gorge, et avec leur lourde perruque tripartite ornée d'une fleur de lotus enchâssée dans un serre-tête noué à l'arrière.
   Réaliste en ce lieu la mise de ce haut-fonctionnaire palatial brandissant son arme de jet, arborant lui aussi collier et bracelet(s) comme ses compagnes, portant perruque arrondie, pagne court - appelé "chendjit", vêtement  caractéristique de la garde-robe royale - que recouvre une jupe transparente mi-longue s'arrêtant aux mollets ?
     Réaliste le geste de ces dames qui, s'agrippant l'une au torse, l'autre à la jambe du "chasseur" risquent  immanquablement d'entraver ses mouvements  ?
   Réaliste leur taille, par rapport à celle de Neferhotep ?
   Réalistes, les deux personnages masculins posés ainsi l'un au-dessus de l'autre à l'arrière de la scène et semblant se mouvoir dans l'apesanteur ?
   Mais, me direz-vous, peut-être que la partie de pêche, elle, qui lui est opposée, de l'autre côté du fourré de papyrus ... ?
  Neferhotep harponne - Croquis d'après Cailliaud
   Eh non ! Mis à part la coiffure de Neferhotep, la position et le nombre des personnes qui l'accompagnent, seuls points qui diffèrent, l'analyse révèle, il nous faut bien l'admettre, que l'ensemble fut là aussi traité exactement dans le même esprit.
     De sorte qu'à l'énumération de tous ces détails insolites, vous conviendrez sans peine que ce genre de représentation - charmante au demeurant - ne peut pas argumenter en faveur d'un quelconque réalisme de situation.
     Toutefois, sur un point, je me dois de vous accorder raison : du réalisme, indéniablement, il y en a ! Je pense notamment
au minutieux rendu des plantes de papyrus, à celui des oiseaux en vol ou des prédateurs en attente de leur éventuelle future pitance, aux vêtements ou aux bijoux que nous avons relevés chez les personnages représentés. Chacun de ces détails séparément envisagés prouve, si nécessité s'imposait encore, l'extraordinaire don d'observation, l'acuité du regard et, consubtantiellement, l'immense talent de l'artiste égyptien qui réalisa cette décoration au sein de l'hypogée, dans des conditions "d'éclairage" probablement très peu confortables.
  
   Mais il n'en demeure pas moins que l'ensemble du registre pêche indubitablement par défaut de réalisme.
 
   Je vous sens déçus, là ; je soupçonne même plus qu'une once de regret dans vos yeux : mais alors, entends-je certains d'entre vous murmurer, dans ce type de scènes, les Egyptiens agrémentaient, enjolivaient, paraient,  idéalisaient, et donc ne rendaient compte d'aucune vérité ... ? En un mot comme en cent : ils nous mentiraient, nous grugeraient, nous abuseraient ? 
   Nous ??? Qui, nous ?
   Vous semblez oublier, amis lecteurs, un point extrêmement important, capital même : l'image égyptienne,
dissimulée au plus profond de la tombe ou des temples n'a jamais été, à l'encontre de nos conceptions occidentales, destinée à être vue par le commun des mortels de l'époque ; et encore moins, quelques siècles plus tard, admirée par vous et moi ...
   Car, ne l'oublions pas,
même si la fin ne répondit pas souvent aux moyens, les Egyptiens s'ingénièrent toujours à rendre leur "maison d'éternité" inviolable : les mastabas initiaux, accueillant le défunt tout au fond d'un puits funéraire aménagé, parfois, à quelque trente mètres de profondeur ; les pyramides de l'Ancien Empire aux entrées dissimulées et aux couloirs pensés pour égailler d'éventuels profanateurs ; les hypogées du Nouvel Empire creusés pour certains jusqu'à plus de cent mètres dans le tréfonds de la montagne thébaine, en constituèrent indicutablement les premières manifestations. Inviolables, ai-je noté; malheureusement pas inviolées ...

   Mais alors m'interrogerez-vous, à quoi servait-il de faire décorer son tombeau avec des scènes aussi élégantes puisque personne n'était destiné à en profiter ?

   Personne ??? Qui a dit cela ?
   N'avez-vous jamais remarqué, ami lecteur, si d'aventure vous avez visité l'Egypte ou, plus simplement, si vous avez déjà feuilleté l'un ou l'autre livre d'art, que, dans la plupart des chapelles funéraires,
l'artiste "scribe des contours" à qui incombait la décoration mandée par un noble ou un haut fonctionnaire royal représenta son propriétaire, debout ou assis aux côtés de son épouse, pour assister en se réjouissant le coeur, à la vue du beau spectacle qui (leur) est présenté ?
   Vous rappelez-vous, entre autres exemples, ce portrait d'Akhethetep recevant différentes offrandes que nous avions vu, en octobre 2008, dans son mataba exposé dans la salle précédente ?
Akhethetep-re-oit-les-tissus---Entr-e--embrasure-sud.jpg
   Il n'y a plus aucun doute à ce sujet, et les textes hiéroglyphiques qui légendent ces scènes l'énoncent très clairement : c'était au défunt lui-même, à ce "bienheureux", à ce "justifié" devant le Tribunal d'Osiris, que tout le décor était destiné ; il était
, comme le professait Roland Tefnin, son propre "spectateur-dans-l'image".
   L'image égyptienne, ajoutait-il aussi volontiers, ne s'épuise pas à la saisie de son sens immédiat, premier, superficiel. Il est temps, dès lors, que nous partions, vous et moi, à la recherche des signifiés bien celés dans cette célèbre scène de chasse dans les marais ...
   De prime abord, quatre signifiants sont à épingler : les canards maitrisés par le personnage masculin à l'arrière de la scène (en fait, et selon les conventions de l'art égyptien, ces deux serviteurs de Neferhotep évoluent sur la rive, au bord du marais), les jeunes femmes et les fleurs de lotus qu'elles tiennent en main ou arborent dans leur perruque.
   L'égyptologue belge Philippe Derchain - maintenant définitivement suivi par l'ensemble de la profession -  a magistralement démontré que chacun de ces détails, pris séparément - canard, jeune femme,  perruque, lotus, mais aussi, de l'autre côté du fourré de papyrus, les types de poissons harponnés -, ressortissait au domaine de la symbolique érotique et, en outre,
que leur présence conjointe matérialisait la volonté de renaissance, de renouvellement de vie que manifestait tout défunt. 
   Parce que la pensée égyptienne est ainsi duelle qu'elle peut indistinctement considérer un animal comme profitable et nuisible - ainsi en est-il, par exemple, de l'hippopotame ou de certains félidés -, le canard  constitue tout à la fois
une promesse de sereine éternité, un élément important dans le processus de régénération et, conjointement, l'image de l'ennemi  potentiel à combattre : c'est la raison pour laquelle, dans la scène palustre qui nous occupe, ceux qui voltigent au-dessus  des végétaux nilotiques font l'objet d'une chasse de la part de Neferhotep : dans la mesure où ils sont aussi censés personnifier les forces maléfiques, ils pourraient considérablement entraver son avancée sur le chemin de sa propre renaissance, entraver son accession à la survie, entraver son éternité dans l'Au-delà ...  
   Cette chasse et, ne l'oublions pas, la pêche évoquée précédemment, apparaissent dès lors comme des gestes rituels posés par le propriétaire de la tombe aux fins de canaliser toute éventuelle hostilité l'empêchant de légitimement prétendre à un devenir post-mortem ; elles ne nous
donnent nullement à voir, vous l'aurez compris, l'une ou l'autre méthode de recherche de subsistance.
   Déprenons-nous définitivement de l'a priori selon lequel ces scènes figureraient une chasse réelle :
elle ont vocation apotropaïque, prophylactique, dans la mesure où il s'agit, pour le défunt, de se protéger d'un danger éventuel.
   Mais aussi mythique : en effet, ces deux activités cynégétiques furent, aux tout premiers temps de l'Egypte, réservées aux souverains : symboliquement, ils combattaient tout ce qui aurait pu être susceptible de
perturber la Maât, de perturber le bon ordre du pays, à commencer, nous l'avons rencontré cet hiver dans certains passages des Annales de Thoutmosis III, par les ennemis potentiels de l'Egypte.
   Neferhotep qui, par parenthèses, je l'ai esquissé tout à l'heure, porte ici le pagne royal et non pas un vêtement correspondant à son niveau social, désirant vraisemblablement être traité de pair à compagnon avec le roi, veut lui être assimilé pour,
mutatis mutandis, vigoureusement repousser, par la magie de l'image, les forces hostiles, néfastes toujours susceptibles de dangereusement perturber sa propre vie dans l'Au-delà. 

     Evoquons à présent la coiffure :  j'ai déjà eu l'occasion, lors de la présentation d'un extrait du Conte des Deux Frères, le 16 août 2008, d'attirer votre attention sur l'érotisme sous-jacent inhérent à la chevelure féminine en Egypte ancienne. J'ajouterai simplement que la perruque tripartite, précisément ici portée 
par l'épouse et la fille de Neferhotep, était celle qui caractérisait les divinités de la fécondité et de la maternité. Qu'à la fécondité est évidemment liée l'idée de naissance. Et que par la médiation de cette chasse et de cette pêche dans les marais, le défunt cherche rien moins qu'à pouvoir renaître après son trépas ici-bas ...   
   Quant au lotus, considéré comme revivificateur, qu'il soit placé à l'avant du serre-tête, simplement tenu en mains ou approché des narines pour être humé, il est aussi censé favoriser la renaissance solaire du défunt. C'est ainsi qu'indépendamment des oeuvres en ronde-bosse, la littérature funéraire égyptienne, notamment le Livre pour sortir au jour (ce que par facilité certains nomment encore Livre des Morts), en atteste : au chapitre 81 B, le défunt qui désire prendre l'aspect d'un lotus pour renaître en tant que Nefertoum, lotus primordial à partir duquel le soleil apparut, se doit de réciter cette formule :
   O ce lotus, cette image de Nefertoum, je suis quelqu'un qui connaît ton nom ; et je connais vos noms, ô tous les dieux de l'empire de morts, car je suis l'un de vous. Faites que je voie les dieux, les guides de la Douat, et donnez-moi ma place qui est dans l'empire des morts, au côté des maîtres de l'Occident ; que j'occupe ma place dans le pays sacré (...)
   Terminons à présent cette longue démonstration par une note sémantique en évoquant le bâton de jet avec lequel Neferhotep s'apprête à capturer l'un ou l'autre canard volant au-dessus du fourré de papyrus. C'est peut-être un détail, mais assurément pas anodin :  le hiéroglyphe représentant ce bâton peut, dans la langue égyptienne classique, servir de déterminatif au verbe qema qui, tout à la fois, signifie "lancer", mais aussi "créer".
     A la suite de tous ces éléments énoncés, j'espère que, comme moi, amis lecteurs, vous estimerez incontestable le fait que ces scènes de chasse et de pêche dans les marais nilotiques avaient métaphotiquement valeur de régénérescence : pour renaître dans l'Au-delà, pour y poursuivre la vie qu'il avait menée sur terre, tout défunt avait besoin de surmonter les obstacles, de les affronter de manière à mieux en triompher.
   Oiseaux et poissons, ici, matérialisent ces forces malveillantes. Quelques grands temples ptolémaïques d'ailleurs l'attestent : ainsi dans celui d'Esna trouvons-nous mention de certains rites dévolus aux prêtres-purs parmi lesquels figure celui d'abattre les ennemis représentés sous forme de poissons que l'on destine au feu de la terrifiante déesse Sekhmet ; et dans celui d'Edfou, les textes précisent que ces mêmes poissons font indubitablement référence aux ennemis réels ou potentiels de l'Egypte, tout en ajoutant que les oiseaux sont identifiés à l'âme même de ces hommes.   
   Oiseaux et poissons participent aussi symboliquement des connotations érotiques présentes dans la mesure où, l'acte sexuel étant nécessaire pour toute (re)naissance, tout semble mis en oeuvre pour le favoriser : perruque, bijoux, vêtements suggestifs, etc.
   C'est également dans cette même optique qu'il nous faut comprendre, sur le cliché en noir et blanc ci-dessus, au registre supérieur derrière Neferhotep harponnant, la représentation d'un autre type de chasse dans les marais : canards et autres volatiles ont été capturés à l'aide d'un filet ; j'y reviendrai, après les vacances scolaires belges, à propos d'un bas-relief exposé dans cette même vitrine ....  
     En guise de conclusion, permettez-moi d'emblée de simplement faire remarquer que nous sommes ici fort éloignés d'un premier sens de lecture qui eût voulu nous donner à penser que Neferhotep pratiquait chasse et pêche dans l'espoir de nourrir sa famille. Départissons-nous une fois pour toute de cette idée simpliste !
   Au tout début de ce mois, dans ma deuxième intervention à propos du fragment peint E 13101, j'avais, souvenez-vous, souligné - tout en promettant de réfuter plus tard l'acception - que ce type de décoration dans une chapelle funéraire ne ressortissait nullement à la thématique qu'il est parfois convenu d'appeler "scène de la vie quotidienne", voire même "de la vie privée" : vous aurez parfaitement compris aujourd'hui que l'artiste égyptien n'entendait ici nullement reproduire un épisode de la  simple quotidienneté de Neferhotep. Et aurait une vision bien étriquée de l'art égyptien celui qui voudrait encore nous faire accroire une analyse aussi captieuse.
   Comme le suggère avec beaucoup d'humour Pascal Vernus dans son excellent Dictionnaire amoureux de l'Egypte ..., ne promouvons pas ce genre de scène en musée Grévin du passé pharaonique !

   Aussi, après un premier sens de lecture qui fut celui des plus grands égyptologues du passé pensant l'oeuvre comme représentative d'une réalité, nous pouvons fort heureusement à présent, grâce aux progrès de la science égyptologique, - merci Jean-François Champollion d'en avoir donné l'impulsion par le déchiffrement des hiéroglyphes ! -, en envisager un deuxième, relevant du domaine du mythe par la réminiscence faite aux combats victorieux des premiers rois d'Egypte contre les ennemis des Deux Terres.
   Ou encore un troisième qui se voudrait apotropaïque, à savoir le désir qu'a tout défunt de conjurer le mauvais sort, de définitivement éloigner toutes les puissances maléfiques qui tenteraient d'entraver son parcours personnel vers la renaissance.
     Ou enfin un quatrième, à connotation érotique celui-là, à destination eschatologique aussi : mettre tout en oeuvre pour que rapport sexuel il y ait de manière à permettre cette naissance post-mortem souhaitée ...
   Oeuvres récurrentes des chapelles funéraires durant toute l'Histoire égyptienne, ces scènes de chasse et de pêche dans les marais n'avaient en définitive d'autre fonctionnalité que celle d'assurer pleinement un Au-delà "vivable" aux trépassés.
    

  
(Barguet : 1967, 119-20 ; Chauvet : 1989, 310-1 ; Derchain : 1972 : 12 et 1975, passim ; Desroches Noblecourt : 2003, 27-50 ; Germond : 2002-3, 75-94 ; Koenig : 1994, 29 et 131-85 ; Laboury : 1997, 49-81 ; Tefnin : 1994, 11 ; Vernus : 2009, 959)
   A toutes et à tous, après cette rencontre du jour un peu plus longue que d'habitude, -  vous m'excuserez, j'espère, d'en avoir quelque peu profité, sachant que nous ne nous verrions plus pendant deux semaines consécutives -,  je souhaite d'excellentes vacances de Pâques ou, pour l'exprimer de façon moins chrétiennement connotée, d'excellentes vacances de Printemps.
   Et vous donne bien évidemment rendez-vous, devant cette même vitrine 2 de la salle 5 du Département des Antiquités égyptiennes le mardi 20 avril prochain : de nouvelles découvertes nous y attendent ...

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