De toute évidence, les passionnés de la mort et les esthètes de la souffrance n'iront pas voir cette exposition.
Je m'engage fermement, si Denis Podalydès fout les pieds dans ce salon, à ne plus dire du mal de Chantal Jouanno et de son secrétariat d'Etat à l'extinction de la biodiversité.
Je vais laisser tout compte fait nos amis de la FLAC parler de cet évènement, ce sont eux les mieux placés !
"Au nom d’une tradition, il y a des rituels et des règles masquant aux enfants et à leurs parents la souffrance ignoble des petits veaux et des taureaux. Pourquoi omettre d’apprendre à savoir dire non ! Non à la maltraitance d’une victime désignée, à l’indifférence et à ses conséquences !
Comment les médias, de hauts responsables et des éducateurs, peuvent-ils accepter encore aujourd’hui de telles pratiques ?
Pour la gloire, des enfants subissent des accidents physiques, des traumatismes étouffés, un formatage, un embrigadement.
Cette exposition ouvre la porte à une réflexion sur les rapports entre l’animal, l’enfant et l’éducation. Comment, par exemple, la médiation animale permet de prévenir la délinquance des plus jeunes …"
L'expo, c'est à Paris, du 10 au 23 avril, au 6 rue Emile Gilbert, dans le 12ème arrondissement.