Au-delà d’éclaircir nos fins de journée, ce qui est bien agréable, le passage à l’heure d’été a pour première conséquence de supprimer une heure de sommeil.
Et quelle heure de sommeil ?
Evidemment, la dernière ! La plus douillette, la plus confortable, la plus emmitouflée dans les draps, la plus profitable, celle qui nous reste tous les matins avant de nous lever.
Je propose donc un aménagement à cette douloureuse épreuve qui serait d’inverser cette dernière heure avec la première.
Oui, je sais, ce ne sera pas facile.
Autre effet pervers, le décalage de 17 heures à 18 heures.
Quid de l’instant du thé qui se retrouve évincé par le moment de l’apéro. Temps où l’on prend un verre entre amis, où la subtilité solitaire de l’infusion a fait place à la convivialité gouailleuse de la cacahuète.
Nous sommes donc passés de l’heure du thé à l’heure du verre.
Votre dévoué serviteur