Les richesses de l’Eglise (origine ou suite ?)
D’après M. Bouvier-Ajam « Dagobert »
(N.B. le Christ ne prêchait-il pas la pauvreté !?)
Au VIème et VIIème siècles « les églises et les monastères sont parfois débordés par les donations qui leur sont faites, les âmes charitables se dépouillant de leurs champs pour conquérir le paradis et même les seigneurs abandonnent une partie de leur domaine pour faciliter la rémission de leurs péchés et obtenir le pardon de leurs exactions…
L’Eglise trouve assez vite un biais qui lui permet de s’enrichir non en revenu, mais en capital… : elle se fait remettre des terres qui jouxtent celles qu’elles ont déjà reçues. Le lot devient « indislocable ». L’ensemble qui a été loué emphytéotiquement, au terme échu, revient à l’Eglise. (*)
* les croisades sont aussi un bon exemple d’enrichissement par l’Eglise.Il faut aussi signaler « les indulgences » qui ont été supprimées, il y a quelques années seulement.
Oh ! Le vilain mécréant, et quelle langue de vipère, celui-là.
Shame on you !
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